Alors que le monde entier est câblé sur l’actualité à Dubaï, certains témoignages montrent qu’en réalité le phénomène existent dans plusieurs pays et ceci depuis des décennies. Une femme raconte comment elle a été baisée par un animal et comment ce chien lui donnait autant de plaisir. Un témoignage très inattendu. Je n’en reviens pas de ce que je vais vous raconter aujourd’hui. Comme je n’en reviens toujours pas de ce qui s’est passé. Cela fait un moment que j’ai une relation sexuelle avec notre chien. C’est un berger allemand pur race qui est le chien de travail de mon mari. C’est un agent cynophile. Ça a commencé un jour, mon mari partait en formation comme il le fait régulièrement. Le chien qui est ultra dressé écoute tout ce qu’on lui dit et surtout exécute les ordres. Quand mon mari lui apprend des trucs pour son travail de maître-chien, moi je lui apprends des trucs cochons. Comme lèche-moi, baise-moi, ce genre de choses. C’est vraiment un bon coup et je peux dire que le chien de mon mari m’a baisée par tous les trous. L’article “Le chien de mon mari m’a baisée par tous les trous… c’est vraiment un bon coup”, une femme au foyer fait de troublantes révélations est apparu en premier sur RDJ.
Dansune interview accordée à Gala et parue le 20 août 2022, Julie Pietri a évoqué son dernier album, Origami, paru le 3 juin dernier.L’occasion pour la chanteuse de s’exprimer sur les
J’ai vécu ma première expérience lesbienne et je ne regrette pas ! Adèle, 32 ans – Agent de voyages. À l’époque, en couple avec un homme je suis d’ailleurs toujours avec, je travaillais comme chef de produit chez un tour opérateur. J’étais en déplacement à l’étranger environ 5 à 7 semaines dans l’année. En février 2012, j’ai été envoyée à Palma de Majorque pour élaborer un circuit touristique pour des clients. Un voyage banal qui fait parti de mon quotidien d’agent de voyage. Là -bas, j’ai fait une rencontre qui a marqué ma vie. Arrivée seule sur l’île pour 6 jours, j’ai posé mes valises dans un somptueux hôtel. Le premier matin, je me suis rendue à mon premier rendez-vous de travail. Je devais organiser une randonnée en jet-ski autour de l’île pour 8 personnes avec pique-nique sur banc de sable le midi. Une fois sur place, j’ai été accueillie par le gérant, Miguel. Il m’a fait faire le tour de sa base nautique et m’a présenté Elvire qui en maillot de bain était en train de préparer les jet-ski. C’est elle qui allait organiser avec moi la journée de randonnée pour mes clients. J’ai de suite remarqué qu’elle n’avait aucun accent espagnol. Je lui ai alors demandé si elle était française. Elle m’a répondu que oui, qu’elle était d’Avignon mais que depuis 4 ans elle était saisonnière à Palma. Le feeling est plutôt bien passé. Elle était très pro, très souriante… Et franchement elle avait un corps de rêve. Première fois de ma vie que je ressentais un certain désir pour une femme ! Elvire était grande, fine, un peu garçon manqué. Elle avait un côté Ruby Rose » cheveux courts châtain, yeux verts, un corps athlétique des abdos en béton, tatouée, une voix roque et douce à la fois. Elle ne m’a pas laissé indifférente… Mais à aucun moment je me suis dit qu’il pouvait se passer quelque chose. Je la trouvais simplement très belle. À la fin de notre rendez-vous elle m’a laissé sur un bout de papier son numéro de téléphone afin que je puisse la rappeler avant mon départ pour finaliser l’excursion. Déjeuner d’affaires. La veille de mon départ, j’ai dîné avec elle dans le restaurant de l’hôtel ou je séjournais. Nous avons parlé boulot un bon moment, ça ressemblait à un déjeuner de travail très sérieux. Et puis au fil du repas, on a commencé à parler de nos vies respectives. Elle m’a d’emblée dit être lesbienne, elle assumait pleinement sa sexualité, ça la rendait belle. Elvire était androgyne, un regard qui envoute, bourrée de charme, c’était troublant. Elle était très cash et ça me plaisait. Elle m’a demandé si ça me tentait de passer ma dernière nuit sur l’île avec elle. Je voyais bien ou elle voulait en venir. Je n’avais pas le fantasme de coucher avec une femme. Disons tout simplement que ça me tentait juste de tester. À l’époque, mon couple n’allait pas très bien, et c’était l’occasion de me distraire, alors j’ai accepté l’invitation. J’ai eu cette envie d’explorer cette partie de ma sexualité et découvrir quelque chose de nouveau. J’ai toujours eu écho que coucher avec une autre femme c’était orgasmique ». Je voulais vérifier par moi-même. Et à 25 ans, avant de construire ma vie de famille, je me sentais prête à franchir le pas. Nous avons rejoint ma chambre. Nous avons commandé quelques consommations puis elle a pris le soin de me demander si j’avais vraiment envie de passer à l’action. La seule réponse que j’ai su lui donner c’est un langoureux baiser. Elvire m’a alors emmené sur le grand lit kingsize, m’a déshabillé lentement… Elle avait ce regard aussi excitant que persécutant. Elle prenait le temps de parcourir mon corps d’abord avec ses mains, puis sa langue… Pour que mon corps s’envole, il me faut de longs préliminaires. Avec Elvire c’était au-delà de mes espérances. Nous avons fait l’amour pendant plus de deux heures et demie avec une succession de trois orgasmes. Un record jamais inégalé par un quelconque mec dans ma vie !! Comment cette femme a pu me faire jouir autant de fois en si peu de temps ? Une magicienne avec des doigts de fée… Je la remercie d’avoir été ma première fois. J’ai eu beaucoup de chance de tomber sur elle, car j’aurai pu craquer sur une lesbienne qui n’aurait vu que par son propre intérêt et ne m’aurait pas aussi bien mise en confiance. Elvire a été parfaite. Elle m’a aidé à sauter le pas, elle a été douce et rassurante. J’avais des peurs, des doutes, des appréhensions, mais elle a su me détendre et m’offrir un moment de plaisir unique et inoubliable. J’avais simplement besoin que quelqu’un me prenne par la main, me montre de quoi je suis capable et me donne cette tendresse indescriptible le temps d’un instant. On dit qu’il n’y a pas de rencontre au hasard… Les rencontres les plus importantes ont été préparées par les âmes bien avant que les corps ne se voient. J’étais sans doute destinée à croiser son chemin ! Je n’ai jamais revu Elvire. Nous avons chacune repris le cours de notre vie après notre douce nuit et nous ne sommes pas restées en contact. On savait toutes deux que c’était un oneshot. J’avais une grande attirance pour cette femme charismatique, j’avais même une certaine admiration. Mais j’ai eu peur. Peur que les sentiments débarquent alors que j’étais en couple avec mon copain. J’ai préféré couper les ponts rapidement avant de tomber en amour. Aujourd’hui je suis mariée à mon homme et nous avons une petite fille de 18 mois. Mon mari que j’aime profondément n’a pas eu connaissance de cette aventure d’un soir. Je garderais ce secret pour toujours. Je n’oublierais jamais le visage de celle qui parfois me manque. Je ne peux pas renier le fait que je pense souvent à Elvire, je rêve parfois d’elle, à ce qu’elle m’a offert il y a presque 7 ans déjà . Je ne sais pas ce qu’elle devient, si elle habite toujours à Palma… Je ne connais même pas son nom de famille pour tout vous dire. Je n’ai d’elle qu’un simple prénom. Une chose est sure, Elvire a marqué mon existence à jamais et restera la nana de ma vie ! Photos non contractuelles. Vous êtes homo, bi, hétéro ? Vous avez déjà eu une expérience avec une femme ? Envoyez votre témoignage à contact[] afin qu’il soit publié sur mon site ! Retrouvez tous les autres témoignages ici.
La punition de Cécile 1 Par Docteur Dominique GALLIEN Avant propos Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgée de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite. Chapitre 01 Je m'appelle Cécile, j'ai 25 ans. Mariée à un homme de 45ans, sans profession, j'ai commis la faute de le tromper, et surtout de me faire prendre en flagrant délit. Depuis j'ai largement eu le loisir de m'en repentir ! Mariée très jeune à un mari très pris par ses affaires, je menais une vie riche et oisive, et c'est sans doute cette oisiveté qui me poussa à prendre des amants, plus que des besoins sexuels que d'ailleurs mon mari satisfaisait assez bien. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, je n'avais aucun mal à me faire draguer et en abusais en toute insouciance. Ce que j'ignorais, c'est que mon époux se méfiait de moi et avait chargé un détective privé de me surveiller. Ce jour-là , j'étais chez mon amant du moment, Bruno, un beau brun ténébreux qui me baisait divinement. Il était en train de me sauter en levrette, moi à quatre pattes, seulement vêtue, si j'ose dire, de mon porte-jarretelles et de mes bas, allant et venant puissament dans mon vagin, quand tout à coup la porte s'ouvrit avec fracas sous un violent coup d'épaule, et mon mari apparut tenant un révolver à la main ! J'eus alors l'impression que mon sang se glaçait dans mes veines, cependant que je sentais la verge de Bruno débander rapidement dans mon sexe. Je crus ma dernière heure arrivée, j'étais épouvantée. Mon mari ne tira pas, mais dit d'une voix glaciale en nous menaçant de son arme - Allez, la séance est terminée. Cécile, rhabille-toi en vitesse, je te ramène à la maison. Honteuse, plus morte que vive, j'enfilai rapidement mes vêtements, la chatte encore gluante du sperme de l'assaut précédent, me sentant sale, humiliée, terrorisée. Redevenue décente, je suivis mon époux, tête basse. Une fois dans la voiture, il m'ordonna de déposer tous mes bijoux dans la boîte à gants je n'osai protester et lui obéis. Durant tout le trajet jusqu'à notre grande maison en banlieue chic, il ne me dit plus un seul mot, me laissant le prier, le supplier, pleurer toutes les larmes de mon corps, lui demander humblement pardon. C'est seulement de retour chez nous qu'il ouvrit la bouche pour m'ordonner de venir avec lui en me prenant fermement par le bras, me faisant mal ; les jambes flageolantes, je le suivis donc et il me conduisit dans les sous-sols de la villa et ouvrit une porte de cave et me poussa à l'intérieur, me disant - Ta conduite inqualifiable mérite une punition. Le temps que j'avise de ton sort, tu vas vivre ici, dans cette cave. Le confort en est largement suffisant pour une petite salope comme toi. Un conseil, économise l'eau cela peut durer un certain temps ! La-dessus, il rabattit la porte et j'entendis la clef tourner sinistrement dans la serrure j'étais prisonnière. Secouée de sanglots, j'observai le réduit d'environ deux mètres sur trois dans lequel j'étais enfermée. Il ne comportait aucune fenêtre ou soupirail, et était faiblement éclairé par une petite ampoule pendue par un fil au plafond. Comme me l'avait laissé entendre sarcastiquement mon époux, le confort était réduit un mauvais matelas étroit posé par terre, dans un coin un seau hygiénique à côté d'un tabouret sur lequel etait posé un gros pain et à côté duquel s'alignaient quelques bouteilles en plastique d'eau minérale. Pour l'inventaire, c'était tout ! Folle d'angoisse, je m'éffondrais sur le matelas et pleurais tout mon saoul qu'allait-il m'arriver ? Mon époux, bien que m'ayant fort bien traitée jusqu'ici, était d'une jalousie féroce, et je redoutais sa colère. Son calme actuel ne présageait rien de bon il aurait pu nous tuer tous les deux avec Bruno, il ne m'avait même pas frappée ! De plus, visiblement, cette cave avait été prévue pour me recevoir il devait connaître mon inconduite depuis un certain temps, de même qu'il n'avait pas pu arriver par hazard chez mon amant... Toutes ces reflexions n'auguraient rien de bon pour moi... Et le temps se mit à couler, monotone. Je ne savais absolument pas quelle heure il pouvait être, puisque je n'avais plus ma montre. Je ne pouvais non plus me baser sur la lumière du jour, car mon cachot n'était éclairé chichement que par l'électricité. Je suis absolument incapable de dire le temps que dura ma réclusion plusieurs jours en tout cas. Aucun bruit ne me parvenait et je me mis à vivre aux rythme de mes besoins naturels et de ma faim ou de ma soif je mangeais un peu de pain, buvais quelques gorgée d'eau ou me soulageais sur le seau hygiénique qui sentait de plus en plus mauvais. Moi aussi, je devais puer pas moyen de se laver, même pas de papier hygiénique pour m'essuyer la vulve ou l'anus. Je dormais par moments, un sommeil lourd peuplé de cauchemards horribles qui me réveillaient en sursaut baignée de sueur. Ma déchéance s'amplifiait avec le temps qui passait je me sentais sale, pas coiffée, mon maquillage avait coulé depuis longtemps, mes vêtements étaient sales et froissés, en particulier ma petite culotte, mes bas déchirés. De plus le seau hygiénique, malgré son couvercle, répandait une odeur pestilentielle. J'étais dans un état lamentable de crasse et d'abattement quand la porte de mon cachot s'ouvrit alors que je ne l'attendais plus. A ce moment, j'étais debout dans ma cellule et je n'eus pas le temps de réagir deux hommes bâtis en armoire à glace et vêtus de blouses blanche se jetèrent sur moi et m'enfilèrent rapidement une camisole de force par dessus mes vêtements, emprisonnant mes bras croisés devant moi. Je protestai violemment, en pure perte. Je fus jetée sur le matelas et pendant que l'un des hommes me maintenait, l'autre glissa ses mains sous ma jupe ample pour me retirer ma culotte. Je ruais, hurlais en vain et même, profitant que j'avais la bouche grande ouverte, l'homme en profita pour y fourrer mon slip souillé qu'il tassa dans ma bouche en guise de baillon. Pour compléter mon mutisme, il me colla une large bande de sparadrap sur les lèvres. On coiffa ma tête d'une cagoule de tissu noir, on relia mes chevilles entre elles par une paire de menottes, je fus enroulée dans un drap, empoignée et posée sur une civière sur laquelle je fus sanglée au niveau de la poitrine, du ventre, des cuisses et des jambes. Je sentis qu'on emportait le brancard jusque dans une voiture, sans doute une ambulance, où il fut glissé. Le trajet dura un certain temps. Je ne voyais rien, ne pouvais m'exprimer, ma petite culotte emplissant ma bouche, sans compter le sparadrap. Puis on me déchargea de la voiture et on me posa quelque part. Au bout d'un moment d'attente, je sentis qu'on s'affairait autour de moi, une voix féminine s'exclamant dégoùtée - Qu'est-ce qu'elle peut sentir mauvais ! On me désangla, me déballa de mon drap et on me retira ma cagoule. Ma civière était possé sur le sol d'une grande pièce entièrement carelée, et deux jeunes femmes en blouses blanches étaient accroupies près de moi, dont une de race Noire. Plus loin, deux types massifs, également en blouses blanches, debout, tenant chacun un long fouet à la main. Les deux filles commencèrent à me libérer chevilles, camisole de force, sparadrap sur ma bouche de laquelle l'une d'elle retira ma culotte sale qui l'emplissait, me disant gentiment - Ici, tu peux gueuler tant que tu voudras personne ne t'entendra ! On m'ordonna de me mettre debout et de me déshabiller entièrement. Debout, ankylosée, afaiblie, je refusai avec énergie de quitter mes vêtements mal m'en prit ! Les deux hommes brandirent leurs fouets et les abattirent sur moi, me frappant le dos, le ventre, les cuisses... Je cédai rapidement sous cette avalanche cinglante et très douloureuse en pleurant je retirai tous mes vêtements bien défraîchis d'abord la veste de mon tailleur, puis mon chemisier, ma jupe je roulai ce qui restait de mes bas, dégraffai mon soutien-gorge et mon porte-jarettelles ; quant-à mes escarpins vernis, ils étaient restés dans la cave de notre maison. Je me retrouvai toute nue et honteuse devant les quatre personnes qui me détaillaient d'un air goguenard. La civière sur laquelle j'avais été amenée fut évacuée, on me poussa dans un angle de la pièce et une des jeunes femmes saisit un tuyau terminé par une lance, ouvrit un robinet et braqua sur moi le jet tiède. Elle m'arrosait partout, manquant me faire suffoquer par la roideur du jet sur le visage, la poitrine ou le ventre, me demandant de tourner sur moi-même pour mouiller tout mon corps. La menace des fouets me rendait obéissante je suis assez douillette par nature, détestant la douleur physique. De même, quand elle me demanda de me prosterner en lui tournant le dos, j'obéis après un semblant d'hésitation, exposant mes parties les plus intimes à leurs regards, ainsi qu'à la violence du jet d'eau qui me frappait durement la vulve et l'anus, arrivant même à pénétrer ces deux orifices, surtout le vagin. Le jet d'eau fut coupé et l'autre femme s'approcha de moi, un gros morceau de savon à la main, et entrepris de me savonner de la tête aux pieds, y compris les cheveux, me faisant accroupir pour savonner vigoureusement mon entrecuisse, n'épargnant aucun recoin le plus secret de mon anatomie... Après ce savonnage, de nouveau le jet pour me rincer. La fille qui le manipulait s'approcha tout près de moi, baissa la puissance, me demanda d'écarter largement les jambes puis fit remonter l'embout verticalement entre mes cuisses jusqu'à pénétrer mon vagin mais aussi mon anus ! Le plaisir de me sentir propre était loin de compenser l'humiliation ressentie d'être ainsi traitée en public. On me laissa m'égoutter un moment, toujours nue, avant de me passer une serviette assez rêche pour finir de me sécher. Toujours amenée au calme par la présence des fouet, je dus me laisser harnacher, morte de honte collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Mes poignets furent reliés entre eux dans mon dos, une barre rigide de métal fut accrochée entre mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. La jeune femme noire accrocha une laisse au mousqueton de mon collier et tira dessus pour m'inviter à la suivre. Je dus m'exécuter, tenue en laisse comme une chienne, de plus la barre d'écartement entre mes cheville m'obligeait à marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées... Elle me conduisit ainsi dans une chambre ressemblant à celle d'une clinique, avec un lit blanc étroit, comportant uniquement un drap de dessous et un traversin. Elle détacha mes poignets, juste le temps de m'allonger sur le dos et de les fixer aux barreaux de la tête du lit. De même elle retira la barre d'espacement et attacha mes chevilles au pied du lit. Je me retrouvai ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés et jetai un coup d'oeil autour de moi. L'ameublement était réduit au minimum coin toilette avec WC à la turque, lavabo et bidet ; sur une table des poires et un bock, ainsi, ce qui me glaça, des intruments de punition martinet, cravache, fouet... J'osai interroger la Noire - Où suis-je ? - Dans une clinique très spéciale et où tu as intérêt à obéir si tu veux éviter d'être punie encore plus durement ! Elle me détaillait tranquillement de la tête aux pieds, regardant surtout entre mes cuisses que je ne pouvait bien sûr pas resserrer pour échapper à cet examen gênant pour ma pudeur. Elle vint tout près du lit, posa ses mains sur moi et se mit à me parcourir tout le corps, pinçant le bout de mes seins, me palpant les cuisses, glissant même une main entre elles, titillant mon clitoris, enfonçant ses doigt dans ma chatte, me tâtant l'anus. Je protestai, évidemment, mais elle s'en moquait éperdument et je ne pouvais me soustraire à ses attouchements vicieux. Au contraire, elle insistait lourdement sur mes parties les plus intimes, me masturbant littéralement. Ce contact me dégoûtait, m'humiliait, mais, aussi, à ma grande honte, m'excitait et me faisait mouiller. Il faut dire que sur le plan sexuel, je me mettais la ceinture depuis mon coït interrompu avec Bruno, et dans la profondeur de la cave, je n'avais certes pas eu envie de me masturber j'étais loin d'avoir le coeur à ça ! Et l'autre continuait à me caresser, ne pouvant ignorer l'état dans lequel elle me mettait. Mais elle cessa et j'en fut déçue. Je la vis avec surprise trousser sa blouse blanche et retirer sa culotte blanche également. Elle me dit alors - Tu es mignonne, tu sais ? Tu veux bien me sucer la chatte ? - Il n'en est absolument pas question !!! Elle dit simplement "Bon", et dix secondes plus tard elle avait le martinet en main et me flagellait tout le devant du corps. Les lanières s'abattaient sur mon ventre, mes cuisses, mes seins, et même atteignaient parfois des points extrèmement sensibles entre mes cuisses, me faisant un mal de chien. Rapidement, je hurlai, pleurai, la suppliai d'arrêter en pure perte. La correction dura longtemps. Enfin, elle cessa, et me demanda sans élever la voix - C'est toujours non ? Veux-tu que je continue à la cravache? - Oh non, par pitié, bégayai-je entre mes sanglots, ne me battez plus, je ferai tout ce que vous voudrez ! Sans un mot, mais avec un sourire triomphant, elle monta sur le lit, retroussa sa blouse et s'accroupit sur mon visage. Sa fente, de couleur sombre était couverte de poils courts et crépus, très odorante. Je n'avais jamais sucé une femme, mais de peur des représailles je m'y mis bravement et avançai ma bouche vers sa vulve. Contrairement à ce que j'imaginais, le goût n'en était pas désagérable du tout, bien au contraire ! Elle me guidait de la voix, bougeant son cul sur mon visage. Sur ses indications, j'aspirais son clitoris très gros, enfonçais ma langue le plus loin possible dans sa chatte ou dans son anus. Elle me tournait le dos et je sentis ses doigts m'ouvrir la chatte puis la pénétration de mon vagin par un objet dur c'était le manche du martinet qu'elle avait toujours en main et qu'elle fit aller et venir entre mes cuisses. Notre pose dura un moment, moi lui bouffant le cul, elle me pistonant la chatte. J'étais sur le point de jouir quand son orgasme se déclencha je sentis les contractions de sa vulve qui coula abondamment dans ma bouche. Aussitôt, elle arrêta de me branler, me bloquant brutalement dans la montée du plaisir, descendit de mon lit; renfila sa culotte et quitta la pièce sans dire un mot, me laissant le manche du martinet enfoncé jusqu'au fond de mon vagin. J'en aurais pleuré de frustration. J'essayai bien de me tortiller pour essayer de me faire jouir, mais n'y parvins pas et restai ainsi, excitée, le manche de bois planté entre mes cuisses. Un peu plus tard, c'est l'autre fille qui m'avait acceuillie qui vint me voir, une jolie blonde, celle-ci. Elle vint près du lit, saisit le manche qui dépassait de ma chatte et lui imprima un mouvement de va et vient en me disant - Nora m'a dit que tu lui avais sucé la chatte. Tu veux bien m'en faire autant ? Ou bien si tu préfères, je te cravache les nichons... - Non, non... implorai-je, ne me battez pas, par pitié je vais vous sucer... Et la scène se répéta elle excamota son slip et vint s'accroupir sur mon visage son odeur était différente et sa chatte faisait un grand contraste avec celle de sa collègue, des muqueuses rose clair au lieu du bistre, un fin duvet blond à la place des poils noirs et crépus... Elle aussi déchargea sa cyprine dans ma bouche, elle aussi me laissa en plan. Avant de me quitter, elle retira le manche de ma chatte et m'ordonna de le lécher pour le nettoyer il était mouillé de mes sécrétions intimes et comme elle tenait la cravache dans son autre main, je ne fis aucune difficulté pour obéir et retrouver sur ma langue le goùt de mon propre sexe... Un homme grand, en blouse blanche, aux tempes grisonnantes, âgé d'une cinquantaine d'année entra dans ma chambre et se présenta - Je suis le Docteur MORIN, cette clinique m'appartient et je t'y souhaite la bienvenue. - Oh, docteur, je vous supplie, libérez-moi ! - C'est hors de question. Ton mari t'a placée chez moi pour te punir de ton inconduite... - Mais... qu'allez-vous me faire, Docteur ? - Tu vas le découvrir au fur et à mesure, mais voici les grandes lignes de ton séjour ici tu vas subir une série d'examens médicaux, une sorte de bilan ; des traitements te seront également administrés... - Mais... Docteur, je ne suis pas malade ! - Eh bien nous verrons. En plus de la partie purement médicale, bien sùr il y aura les punitions inscrites au programme pour sanctionner la faute lourde que tu as commise, et une éducation dont tu as un grand besoin. Autant te prévenir tout de suite, tu n'es pas dans cette clinique pour ton plaisir mais pour expier. Aussi, si j'ai un conseil à te donner, c'est de filer doux, de te montrer docile et très soumise si tu ne veux pas aggraver ton cas ; ce n'est pas la peine de rajouter, par ton manque de coopération, des sévices au programme envisagé... Ton traitement commence demain, mais tout de suite, je vais faire un ou deux tests tu dois te laisser faire sans dire un mot. Il pose alors ses mains sur mes petits seins et commence à les malaxer sans douceur, me faisant assez mal. Puis il saisit mes tétons et les pince, les tire, les tourne durement la douleur irradie dans ma poitrine, je n'ose rien dire, mais, malgré moi mes yeux s'emplissent de larmes et comme il instiste, je ne peux pas retenir mes gémissements. Ses mains abandonnent mes nichons endoloris pour faire subir un sort semblable à mon clitoris qu'il pince et tord entre deux doigts là je ne peux m'empêcher de crier, ce qui me vaut un regard sévère qui me fait taire. Puis il enfile un gant de latex tiré de sa poche et introduit deux doigts porfondément dans mon vagin qu'il fouille longuement. Ses doigts ressortent de mon ventre, descendent plus bas entre mes fesses et je sens le bout de son index se poser sur mon anus. Instinctivement, je me crispe, mais poussant brutalement, il l'enfonce de toute sa longueur, le bouge un peu me disant cruement - Dis-moi, pour une petite salope de ton genre, tu as le trou du cul drôlement serré ! On va t'arranger ça... Quand il ressort son doigt de mon cul, c'est, dernière humiliation, pour mettre ses doigts gantés et souillés dans ma bouche pour me les faire lécher. Térrorisée je m'acquitte de mon mieux de cette tâche... Il s'en va me laissant rien moins que rassurée sur mon sort dans le futur proche ! Je suis effondrée et en même temps, je me sens lâche de me soumettre ainsi à des exigences obcènes sans résister, simplement par la peur de la douleur. perverpeper RETOUR A L'INDEXLassassinat de Julie Douib, aux assises de la Corse-du-Sud, à partir du 30 septembre. Les faits : Le mois prochain s'ouvre à Ajaccio le procès en appel de l'assassinat de Julie Douib en mars 2019 à l'Île-Rousse, un des féminicides les plus emblématiques de la faillite des institutions dans le traitement des violences conjugales. Le
Gungrave Le chauffagiste, un film X à la française 0 1 Je m'installe Inscrit 22/11/2005 1322 Posts 385 Avec un titre racoleur comme ça, je vais sûrement attirer du monde."Vous avez appelé pour un problème de chauffage?- Oh oui il fait vraiment très chaud ici. Vous pourriez jeter un petit coup d'oeil à ma tuyauterie?"Seulement voilà , la réalisation d'un film X français n'est jamais si simple comme le prouve ce court-métrage de Vincent Knafo et Benjamin Nicolas, avec Benjamin Nicolas et Béatrice de la Boulaye. Contribution le 13/01/2010 1353 Signaler Srash Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 2 J'aime glander ici Inscrit 28/07/2004 2105 Posts 8128 Karma 313 Vraiment pas mal cette petite vidéo, la fin est énorme Contribution le 13/01/2010 1400 Signaler flyfire Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 3 Je suis accro Inscrit 27/11/2007 2125 Posts 548 mouai Contribution le 13/01/2010 1408 Signaler Denej Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 4 Je suis accro Inscrit 19/02/2008 2057 Posts 1772 Sympa Contribution le 13/01/2010 1410 Signaler Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 5 Fantôme J'aime bien C'est claire la fin est très.. euh... fine Contribution le 13/01/2010 1415 Signaler Srash Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 6 J'aime glander ici Inscrit 28/07/2004 2105 Posts 8128 Karma 313 le final est sublime ! Contribution le 13/01/2010 1423 Signaler Txiii Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 7 Je poste trop Inscrit 02/08/2004 1458 Posts 12643 Je me suis bien marré, surtout à la fin Contribution le 13/01/2010 1428 Signaler Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 8 Fantôme J'ai ça trouvé plutôt sympa, mais moi je trouve justement qu'il ne se sont pas fait chié pour la fin roll Peut être parce qu'en lisant vos commentaire avant je m'étais fait une idée de la fin plus original.. Contribution le 13/01/2010 1440 Signaler Akamdaka Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 9 Je suis accro Inscrit 07/09/2009 2232 Posts 529 C est trés bein jouer en tous cas , et j'ai trouver se court métrage bien Contribution le 13/01/2010 1443 Signaler Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 10 Fantôme Contribution le 13/01/2010 1445 Signaler Klaus-Mann Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 11 Je masterise ! Inscrit 20/03/2008 0002 Posts 4516 Ouaip, pas mal du tout A quand des pornos sensibles et délicats? Contribution le 13/01/2010 2101 Signaler Kraiste Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 12 Je suis accro Inscrit 15/06/2006 1827 Posts 1811 Citation flyfire a écrit puis genre le cameraman c'est un homme d'affaire qui travaille aves son "timing", n'importe quoi Contribution le 13/01/2010 2112 Signaler Poum45 Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 13 Koreus Addict Inscrit 03/12/2007 2303 Posts 59592 Karma 4214 mdr la chute, j'aime beaucoup 10 Contribution le 13/01/2010 2115 Signaler Guilux13 Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 14 Je suis accro Inscrit 25/08/2009 1825 Posts 529 Allez maintenant Carla ! Contribution le 13/01/2010 2131 Signaler Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 15 Fantôme Contribution le 13/01/2010 2159 Signaler potexto Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 16 Je masterise ! Inscrit 05/01/2010 1803 Posts 2115 Juste caricatural quoi 3 Contribution le 13/01/2010 2203 Signaler Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 17 Fantôme Ah ouai j'ai adoré !Super bien foutu ! Contribution le 13/01/2010 2317 Signaler Ellinas Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 18 Je suis accro Inscrit 10/03/2008 2206 Posts 1427 Superbe et bien gaulé ! c'est le cas de le direDeux bons acteurs, une bonne réal et un scénar le vague à l'âme de l'acteur porno. Contribution le 13/01/2010 2327 Signaler Suricate Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 19 Je m'installe Inscrit 18/08/2009 2255 Posts 215 J'ai trouvé ça excellent ! Contribution le 13/01/2010 2342 Signaler -lunatic- Re Le chauffagiste, un film X à la française 0 20 Je suis accro Inscrit 09/03/2008 2110 Posts 1836 ça enleve tout le charme d'un film de boule Contribution le 13/01/2010 2343 Signaler
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