Lerythme dans la peau est l’une chasse au trésor dans Far Cry 6. Cette soluce vous guidera pas à pas à travers tous les objectifs de la quête de chasse au trésor. Voir le guide sur Youtube Le rythme dans la peau est l’une chasse au trésor disponible dans la grotte Le Danza, au nord-est de la ville de Segunda dans la région de Cruz de Salvador.
Steam les bonnes affaires 2014 Comme chaque année, Steam a ouvert sa période de soldes automnales. Elle se déroule du 26 novembre au 2 décembre. Plusieurs fois par an, la boutique de jeux vidéo en ligne ravit les collectionneurs de ludothèques virtuelles et les autres joueurs avides de bonnes toujours de nombreux jeux sont proposés à petits prix. Attention, ce n’est pas pour cela qu’il faut se ruer sur chacun d’entre eux. Certains titres sont intéressants, d’autres moins. Nous avons donc fait une sélection des jeux actuellement soldés qui doivent faire partie de toute bonne ludothèque. Les réductions sont fixées sur les prix de lancement des jeux. Aussi, un -75 % n’est pas forcément une affaire puisqu’on peut très bien trouver le même jeu à plus bas prix en passant par un revendeur de clés Steam. Pour vérifier cela, nous vous conseillons le site dlcompare, un comparateur de marchands Steam. La sélection qui suit n’est composée que de jeux vendus par Steam aux meilleurs prix du net. Enfin, terminons par un conseil. A chaque soldes Steam, de nombreux joueurs garnissent leur bibliothèque de jeux auxquels ils ne joueront jamais. Sachez que les prochaines soldes ne sont pas si loin et que les titres d’aujourd’hui s’y retrouveront encore et parfois à des prix encore plus intéressants. The Evil Within 20,39€ Dernière création de Shinji Mikami Resident Evil, Dino Crisis, The Evil Within est un jeu d’horreur sorti il y a seulement quelques semaines, en qui fait de son arrivée dans les soldes un événement notable. Il place le joueur dans la peau du détective Sebastian Castellanos, qui est témoin du massacre de ses collègues par une force étrange, alors qu’il enquêtait sur une série de meurtres. Il se fait alors kidnapper, et se réveille au milieu d’un monde étrange et peuplé de créatures hideuses, qui vont le poursuivre alors qu’il tente de survivre. Si le prix en solde de ce jeu est donc très attractif, compte tenu de sa sortie récente, ne perdez en revanche pas de temps avant de vous décider, car la promotion ne dure que quelques The Evil Within à 20,39€ Goat Simulator 4,99€ Goat Simulator, summum de l’absurde en matière de jeux PC, avait fait parler de lui par son humour totalement décalé, notamment car il met le joueur aux commandes d’une chèvre. Ainsi, devant la demande des fans, l’éditeur a décidé de décliner son jeu dans une version en ligne, qui propose donc un monde persistant dans lequel il est possible de jouer à la chèvre, faire un tour de manège, ruiner une fête sur le toit d’un immeuble ou encore partir en chasse des extra-terrestres, le tout à plusieurs. Là encore, le prix très attractif de ce jeu récent n’est valable que pour quelques heures, alors dépêchez-vous !Acheter Goat Simulator à 4,99€ To the Moon 2,79 € Premier jeu commercial de Freebird Games, To the Moon a été développé à partir du logiciel grand public RPG Maker. À mi-chemin entre le jeu de rôle et le jeu d’aventure, il présente un design général que l’on apparentera facilement aux RPG japonais de la période 16 bits. L’intrigue plonge le joueur dans la peau de savants qui tentent de combler les souhaits de mourants en pénétrant dans leurs souvenirs pour y implanter ledit rêve et qu’il s’y produise artificiellement. To the Moon raconte l’histoire de Johnny dont le rêve est d’aller sur la Lune bien qu’il ne sache pas trop pourquoi. Au fur et à mesure de l’opération, les docteurs vont découvrir ses secrets et percer cette volonté de marcher sur notre satellite. Acheter To the Moon à 2,79 € Expeditions Conquistador 3,99 € Mélange de RPG, de gestion et de stratégie au tour par tour, Expeditions Conquistador est une des révélations de 2013. Très peu médiatisé, il a su gagner une belle cote de popularité grâce à son système pot au feu » plein de bonnes idées. Dans la peau d’un jeune noble d’Espagne, on part à la conquête du Nouveau Monde à la tête d’une équipée de dix mercenaires pour coloniser les sauvages et accaparer leurs biens. Chacun de nos compères a sa personnalité propre ainsi que des capacités différentes soldat, archer, scout, médecin, érudit, etc. Attention de ne pas les brusquer pour éviter les mutineries. La petite troupe s’enfonce dans les terres dans une progression à la Heroes of Might & Magic. On retrouve également le tour par tour dans les combats, mais ici c’est plutôt le système de Jagged Alliance que l’on retrouve. De bons mécanismes bien mêlés avec une dose de jeu de rôle afin d’impliquer plus fortement le joueur dans une expédition en terres inconnues. Une belle expérience vidéoludique complètement bradée aujourd’hui. Seul regret, Expeditions Conquistador n’est pas localisé en français. Néanmoins, vous trouverez une ébauche de traduction non officielle sur le forum rpgfrance. Acheter Expeditions Conquistador à 3,99 € Duke Nukem 3D & Shadow Warrior Bundle 2,09 € Nous ne vous ferons pas l’affront de vous présenter Duke Nukem 3D et Shadow Warrior. Les deux FPS de 3DRealms se retrouvent ici accolés dans un bundle rassemblant leurs versions complètes pour trois francs six sous. 3,49 euros pour découvrir ou redécouvrir ces classiques du jeu PC, ce n’est vraiment pas cher payer. Certes, les graphismes ont vieilli, mais en cherchant un peu, on peut trouver des patchs remettant ces deux mastodontes au goût du jour. Acheter Duke Nukem 3D and Shadow Warrior Bundle à 2,09 € Brothers A Tale of Two Sons 2,99 € Brothers est une aventure poétique. Uniquement jouable à la manette, il permet de contrôler deux héros, deux frères partis à la recherche d’une eau miraculeuse destinée à soigner leur père mourant. Du stick gauche on dirige l’aîné, le cadet étant dévolu au stick droit. Deux-en-un, le symbole est déjà fort et offre un gameplay unique servant une histoire belle, sombre et des personnages attachants bien qu’ils parlent comme des Sims sans sous-titre. Tout se traduit dans les gestes, les mimiques et la tonalité de la voix. Phases de plateforme et d’énigme s’enchaînent. Rien de bien compliqué dans Brothers. Ici, ce n’est pas le skill qui compte, mais plutôt la progression contemplative. Quelques heures suffisent à en voir le bout. On en ressort ravi, comme après un bon film. Aussi, s’il était trop cher à sa sortie au vu de sa durée de vie, les soldes Steam effacent ce défaut majeur et ne laisse d’autre choix que de se ruer sur cette pépite. Acheter Brothers A Tale of Two Sons à 2,99 € GTA Compete Edition 14,99 € Comme d’habitude, on retrouve la saga GTA dans les soldes Steam. Ici, ce sont tous les opus depuis le troisième épisode qui sont compris dans ce pack à 14,99 €. Certes, on l’a déjà vu à des prix inférieurs, mais cela reste encore une bonne affaire, surtout pour ceux qui n’ont jamais touché aux premiers épisodes 3D de la série. De quoi garnir sa ludothèque virtuelle d’un joli paquet de Bad Boys en attendant la sortie de GTA V sur PC en janvier prochain. Acheter GTA Complete Edition à 14,99 € Burnout Paradise Ultimate Box 1,49 € Si l’on excepte le très inutile Burnout Crash !, Paradise est le dernier bon épisode de cette série initiée en 2001 sur PS2. Des courses à tombeau ouvert dans des décors paradisiaques, le tout couronné par une dose de brutalité avec les Burnout et autres viles manoeuvres destinées à supprimer ses compétiteurs. Un classique du genre qui reste tout aussi jouissif cinq ans après sa sortie bien qu’il ait pu prendre quelques rides. Acheter Burnout Paradise The Ultimate Box à 1,49 € Sid Meier’s Pirates! 2,49 € Remake du mythique Pirates! sorti en 1987, Sid Meier’s Pirates! plonge le joueur dans la peau d’un flibustier prêt à tout pour venger sa famille arrêter par un Espagnol aux méthodes et principes douteux. Après avoir réussi à échapper à cette rafle, le héros grandi jusqu’à pouvoir prendre la mer à bord de son bateau pour écumer les Caraïbes. Attaques de navires, batailles sur le pont, diplomatie et séduction sont les armes de Sid Meier’s Pirates! Notre héros gravit alors peu à peu les échelons et pourra s’emparer de cargaisons plus précieuses et même de bateau mieux équipés. Si Assassin’s Creed Black Flag s’est attaqué au même sujet, il ne propose pas le même attrait. Ici, tout est plus concis, mais aussi mieux ordonné sans devenir lassant. Une bonne redécouverte en somme. Acheter Sid Meier’s Pirates! à 2,49 € System Shock 2 2,49 € Jeu de rôle et FPS en même temps, on peut considérer la série System Shock comme étant l’aîné spirituel de Deus Ex. Après une expédition ratée sur une planète, le héros se réveille seul dans un vaisseau spatial. Il doit alors faire face à la propagation d’un virus génétique et trouver un moyen de l’éradiquer. Pour cela, il peut s’équiper de capacités psioniques, à la manière des plasmides de Bioshock. S’il offre une vue à la première personne, System Shock 2 n’est pas pour autant à manier comme un FPS. On y retrouvera plus une progression similaire au récent Alien Isolation. Pas après pas, le joueur doit avancer prudemment afin de ne pas se faire repérer ou prendre pour cible par les créatures qui hantent le vaisseau. Acheter System Shock 2 à 2,49 € Manhunt 2,49 € Jeu scandaleux s’il en est, Manhunt est tout bonnement la meilleure simulation de torture jamais produite. Sale et abject, on y incarne un pauvre bougre parachuté dans une émission de téléréalité violente. Il est la proie enfermée dans la ville de Carcer City. Les chasseurs sont à ses trousses. Il faut alors avance en les évitant ou en les massacrant, discrètement ou pas, mais toujours brutalement. Un sac plastique, un couteau, une batte de baseball ou encore une hache, tout est bon pour les réduire au silence avec comme récompense une cinématique dédiée à chaque mise à mort. Véritable porte-étendard de la violence gratuite, Manhunt n’est pas à mettre entre toutes les mains. Acheter Manhunt à 2,49 € Bully Scholarship Edition 2,99 € Bully, c’est la version collège de GTA. Sorti originellement sur PS2, le titre de Rockstar a été porté sur Wii, Xbox 360 et PC deux ans plus tard. C’est de cette version dont nous parlons ici. Bully, ou Canis Canem Edit, place le joueur dans la peau d’un écolier enfermé dans la Bullworth Academy, un établissement privé en Nouvelle-Angleterre. On y incarne Jimmy Hopkins, un adolescent de 15 ans bien décidé à se forger une réputation de mauvais garçon dans sa nouvelle pension. Les fusillades de GTA sont remplacées par des batailles de lance-pierres et les courses poursuites par des virées à vélo ou skateboard. Il s’agit d’un bon bol d’air après GTA V, d’autant plus qu’il est actuellement à 4,99 euros au lieu de 9,99 euros sur Steam. Acheter Bully Scholarship Edition à 2,99 € Runner 0,79€ Runner fait partie du genre très particulier des Endless Runner », mais il se démarque de la plupart de ses homologues par quelques subtilités de mécaniques de jeu. Il intègre en effet plusieurs éléments spécifiques, comme le fait de devoir suivre une musique en rythme, ce qui impose des obstacles assez originaux à éviter, tout en ramassant un maximum de Runner à 0,79€ The Dark Eye Chains of Satinav 4,99€ L’Oeil Noir les chaînes de Satinav est un jeu d’aventure, qui se présente comme un point & click. Vous y incarnez Geron, jeune oiselier qui vit dans la ville d’Andergast. Cette dernière est en proie à un désastre annoncé par la venue subite de très nombreux corbeaux, et que vous allez devoir empêcher avec l’aide de votre fée Nuri. Un jeu intéressant, qui ne brille pas nécessairement pas son originalité, mais dont le prix en baisse en fait une offre attractive en cette période de The Dark Eye Chains of Satinav à 4,99€ Avernum Escape from the pit 1,99€ Préparez-vous à un retour aux sources avec Avernum, ainsi qu’à une plongée dans cet effrayant royaume souterrain peuplé de monstres et de voleurs. Vous êtes à la tête d’une équipe de personnages, que vous devrez mener à l’extérieur de ce donjon tout en évitant ses pièges mortels, afin de vous venger de ceux qui vous ont jeté ici. Ce classique des années 90 est ici ressuscité à un prix plus qu’attractif, pas d’excuse pour passer à Avernum Escape from the pit à 1,99€ Devil May Cry 4 4,99€ La saga Devil May Cry, née en 2001, a connu des hauts et des bas au cours de son existence, mais il est communément admis que le quatrième opus de la série tire clairement son épingle du jeu. Ça tombe bien, il est en solde sur Steam cette semaine, ce qui vous permettra de mettre la main dessus si vous l’aviez raté lors de sa sortie. Vous y incarnerez cette fois le jeune Nero, nouveau venu dans la série, et devrez retrouver Dante pour lui faire payer la mort de votre Devil May Cry 4 à 4,99€ Beyond Good & Evil 2,99€ Si le créateur français Michel Ancel est principalement connu pour avoir conçu Rayman, il est également à l’origine d’un jeu dont les qualités sont souvent louées par les joueurs Beyond Good & Evil. Ce jeu vous place dans la peau de Jade, une journaliste qui va rapidement se retrouver à enquêter sur des affaires étranges concernant le gouvernement, et ce au péril de sa Beyond Good & Evil à 2,99€ Trine 2 The Complete Story 2,54€ Trine est un jeu de plateforme original, puisqu’il mélange plateforme, réflexion, et entraide entre les différents personnages. Il s’agit en effet d’un jeu où il est impossible de progresser seul il faut s’aider des compétences de tous les personnages à votre disposition pour résoudre les différentes énigmes, et ainsi passer à la suite. Vous vous en doutez, cela rend l’expérience beaucoup plus intéressante lorsqu’on joue à plusieurs, puisque chaque joueur dispose d’une compétence particulière le rendant indispensable au reste de l’ Trine 2 The Complete Story à 2,54€ Castlevania Lords of Shadow – Ultimate Edition 6,24€ Difficile de ne pas connaître la saga Castlevania, qui sévit sur nos consoles et désormais, nos PC depuis les années 80. Cet épisode Lords of Shadow lui fait clairement hommage, et propose un jeu aux graphismes fins et à l’histoire prenante. Vous y incarnez Gabriel Belmont, descendant de la fameuse lignée de chasseurs de vampires, et devrez explorer la cité d’Agharta afin de reconstituer le masque de lumière, qui vous permettra de reprendre contact avec votre défunte Castlevania Lords of Shadow – Ultimate Edition à 6,24€ Deadlight 2,39€ Le genre du jeu de zombie a été décliné dans toutes les formes possibles de jeu vidéo. Et pourtant, Deadlight arrive malgré tout à fournir une expérience intéressante et originale. Dans ce jeu d’aventure, vous incarnez un vieil amnésique qui va devoir se frayer un chemin à travers les morts-vivants tout en essayant de comprendre sa propre histoire, ainsi que les origines de la catastrophe en cours. Si l’histoire n’est pas des plus originale, la narration est en revanche assez intéressante, de même que les différentes mécaniques de Deadlight à 2,39€

FarCry 6 s'inscrit dans la continuité des ses prédécesseurs. On reste sur les bases posées par UBI depuis trop longtemps. Niveau gameplay, rien de nouveau sous le soleil cubain, c'est fluide

The Master of ErrorUwe Boll sur le tournage de In the Name of the King a Dungeon Siege Tale à Vancouver, en est très délicat de s'attaquer au cas Uwe Boll, tant son image est brouillée par la haine viscérale que ses films ont pu déclencher ces dernières années chez les fans de jeu vidéo le bonhomme s'est fait une spécialité de leur dévoiement sur grand écran, ou tout bonnement chez les amateurs d'un cinéma d'exploitation réalisé avec un minimum d'honnêteté. La question étant de savoir si cet opprobre, dont les résonances impressionnantes orientent forcément le regard, est mérité - pour peu qu'on arrête d'y compter les points Godwin. D'après les films qu'on a pu voir du réalisateur, ses réactions face aux critiques ou encore ses hallucinantes sorties dans les bonus de ses DVDs, la réponse est oui. Trois fois, dix fois, mille fois le 22 juin 1965 dans la ville de Wermelskirchen, Uwe Boll obtient un Doctorat en Littérature à l'université de Siegen, et se lance dans l'aventure cinématographique dès 1991 avec un film parodique, hommage au Hamburger Film Sandwich des ZAZ. Il tourne ensuite un docu-fiction, une chronique sociale hardcore, puis une comédie romantique – ce qui témoigne déjà de l'étonnante versatilité du Docteur. Des films dont l'exploitation ne s'est jamais étendue au-delà des salles allemandes, et par ailleurs introuvables en vidéo certains ont été projeté à L'Etrange Festival édition 2010, dans le cadre d'une rétrospective de sa filmo.En 2000, à la tête de sa société nouvellement créée, la Boll KG, il convainc les exécutifs peu regardants de Regent Entertainment d'investir dans Sanctimony, piteuse variation sur le thème d'American Psycho avec Casper Van Dien dans le rôle du trader tueur en série. Son film suivant, Blackwoods, propulse un autre acteur de Starship Troopers Patrick Muldoon en tête d'affiche, dans un thriller mou du genou. Heart of America, enfin, propose une vision on ne peut plus candide du drame meurtrier survenu au lycée Columbine de Littleton quatre ans plus 2003, Uwe Boll et ses investisseurs de Boll KG prennent une décision cruciale adapter sur grand écran des jeux vidéo populaires. Lesquels ont l'avantage de bénéficier d'une renommée déjà installée, garante de ventes automatiques du produit à l'étranger. Uwe Boll n'hésite pas à le dire, ce virage productif est purement commercial, le réalisateur n'étant pas spécialement féru de jeux vidéo. Si cette confession a au moins le mérite de la franchise, elle sera en partie responsable du courroux des fans des œuvres complètement massacrées par le élément clé dans cette animosité quasi généralisée à l'égard d'Uwe Boll est son incompétence souvent ahurissante. À la vision de House of the Dead, il est incroyable de constater qu'il ne s'agit pas là du premier mais bien du huitième film du réalisateur, tant celui-ci livre un résultat certes hilarant, mais catastrophique en termes de mise en scène, que même des délais de tournage serrés ne sauraient excuser. Des anarchies visuelles et narratives qu'on retrouve dans des acceptions relativement différentes dans Alone in the Dark, BloodRayne et le pétulant King Rising, doublées d'une incompréhension manifeste des matériaux de base. Uwe Boll n'en a cure, comme il le dit lui-même dans les stupéfiants commentaires audio de House of the Dead et Alone in the phénomène prend de fait des proportions démesurées, accentué par le cynisme évident et affiché d'Uwe Boll. Le réalisateur prend de plus en plus mal les critiques négatives à son endroit, souvent il est vrai aussi stupides que ses films. Mais au jeu de la surenchère, Boll s'apprête à prouver qu'il n'a de leçons à recevoir de personne. En septembre 2006, il invite ses détracteurs les plus virulents à venir l'affronter sur un ring de boxe. Il se garde bien de préciser son expérience de boxeur à ceux qui relèvent le défi, dont un mineur qui sortira KO de la content d'avoir évacué sa rancœur de cette imbécile façon Un poing dans la gueule, c'est le meilleur moyen d'aimer mes films ! », Boll réalise dans la foulée deux œuvres rageuses et jusqu'au-boutistes. Seed et Postal sont toujours aussi idiots et mal filmés, mais leur flot de violence gratuite ou leur bêtise crassement assumée témoignent presque d'une forme de sincérité, chose inédite dans la filmographie d'un homme qui a toujours plus été un businessman opportuniste qu'un sous cet angle qu'il faut appréhender la singulière suite de sa carrière, qui aura entraîné de fulgurants rétropédalages quant à l'appréciation du bonhomme dans les sphères cinéphiles, jusqu'à son improbable sacralisation de l'Etrange Festival en 2010. Après le petit succès d'estime de Postal qu'il présentait comme son chef-d'œuvre, Uwe Boll revient aux adaptations de jeux vidéo avec les risibles Bloodrayne 2 et Far Cry, deux produits pas possibles avec leur lot de scènes nanardes voir le speech final de Bloodrayne 2 ou les cataclysmiques scènes d'action de Far Cry pour avoir un aperçu. Vient alors un revirement pour le moins inattendu, puisque notre homme va tenter de gommer la distance qui sépare un réalisateur d'un cinéaste. En d'autres termes, il va chercher à devenir… un au moins ça, il va procéder de façon plutôt judicieuse pour le triptyque à venir, sincèrement la partie la plus intéressante de sa filmographie. Il s'inspire de sujets réels, forts et violents, qu'il va traiter avec la même mécanique des scripts non dialogués pour laisser les comédiens improviser et s'emparer de leurs rôles même si le résultat peut avoir des fortunes diverses, Boll semble au moins reconnaître que l'écriture est loin d'être son fort !, une mise en scène dont le "style documentaire" est surligné par l'emploi de caméras portées et secouées plus que de raison et, pour le fond, une gradation dans une violence abjecte, objet de débat entre les éternels contempteurs du bonhomme et ses nouveaux démarre ce nouvel axe de sa filmo avec Stoic, modeste production en huis-clos montrant les interrogatoires de trois détenus après le suicide d'un quatrième. Le film est en grande partie constitué de flashbacks où sont dévoilés les multiples sévices infligés par les trois personnages principaux. Se retrancher derrière la mention "inspiré de faits réels", ou arguer que le malaise procuré par le film est authentique ne sont pas des arguments, tant la façon dont Uwe Boll construit son récit est franchement dégueulasse. Il n'y a rien de courageux ou de bravache à enchaîner les atrocités et franchement, dans le genre, toute la nouvelle vague US des rape revenge le met à l'amende, surtout quand le seul discours du film, balancé par l'un des protagonistes au détour d'une phrase jamais développée, consiste à affirmer qu'en prison, il y a quand même des même énorme problème frappera de plein fouet Darfur, dernier film de sa trilogie auteuriste. Débutant de façon convaincante - et du coup étonnante ! - sur les mêmes bases esthétiques, le film ne devient, à l'arrivée des mercenaires Janjawid, qu'un amoncellement d'actes de barbarie filmés et montés sans aucune autre finalité que de choquer pour choquer. L'éveil des consciences tant recherché par les personnages du film tombe franchement à plat, et ce geste cinématographique d'apparaître au mieux maladroit, au pire obscène – surtout avec le carton final rappelant in extremis le propos le génocide, c'est mal.Au beau milieu, on trouve Rampage, sorti en France en DVD avec le beau sous-titre Sniper en liberté. A n'en point douter, le meilleur travail d'Uwe Boll, et presque un bon film pour peu qu'on ferme les yeux sur ses scories récurrentes des impros approximatives et quelques scènes chocs bien trop bourrines et filmées similaires ! La nuance vient du fait que cette fois-ci, Boll adopte complètement le point de vue de son anti-héros, transformé rapidement en machine à tuer. La surenchère hardcore est une nouvelle fois de mise, mais pour une fois, le réalisateur laisse le spectateur tirer sa propre morale et ne l'écrase pas sous le poids d'une démonstration didactique empruntant la finesse d'un tractopelle. La caméra est toujours en roue libre, mais le procédé fait sens avec le sujet. L'incroyable cynisme du film, jusqu'à sa conclusion, est sûrement la meilleure retranscription des ambitions cinématographiques d'Uwe Boll, d'un point de vue strictement aurait pu dès lors imaginer le Docteur partir en quête d'Oscars et de Golden Globes, à coups de tatannes dans la gueule si besoin. Ce serait mal connaître son pragmatisme si un projet se monte, on le tourne, basta. La cohérence artistique, c'est pour les branleurs d'Internet qu'il méprise tant, et dont Nanarland fait bien évidemment partie. Boll tourne donc coup sur coup deux films de facture à peu près correcte, partageant néanmoins une interprétation approximative et un rythme soporifique. Le premier, Final Storm, "thriller" pré-apocalyptique intimiste avec Luke Perry, est un modèle d'empilement d'incohérences scénaristiques qui finissent peu à peu par vous griller le cerveau. Une tambouille à peine rattrapée par une fin mollement gonzo, qui surligne à quel point ce qu'on vient de voir n'a aucun sens. Le deuxième, Max Schmeling, est le biopic gentillet d'un boxeur allemand qui a su faire front au régime nazi. Pompier, enfoncé par son script sentencieux, son acteur principal amorphe et sa réalisation "intuitive", le film se réveille pendant les nombreuses scènes de joute pugilistique, a priori la seule chose qui semble intéresser s'il s'exprime moins sur le sujet, Uwe prend toujours autant à cœur les jugements critiques à son endroit, ce qui peut expliquer l'hallucination à venir. Qu'il tourne le troisième volet de Bloodrayne, situé cette fois-ci en pleine Seconde Guerre mondiale avec un bad guy vampire et nazi, soit. Mais qu'il en profite pour tourner dans le même temps une parodie de ce même film, dans les mêmes décors, avec le même casting si l'on excepte l'actrice principale remplacée par une humoriste obèse, là, on tombe pour le moins dans de l'inédit. De toutes ses adaptations de jeux vidéo, Bloodrayne 3 est celle qu'Uwe Boll a le plus chiadé – le script eut-il été moins bas du front et les habituelles fautes de goût du Docteur voix-off plombante, scènes de sexe totalement gratuites… moins prononcées, nous aurions eu affaire à un DTV honnête. Blubberella, par contre, constitue un furoncle purulent sur la face des nouveaux défenseurs d'Uwe grotesque, gênant et dans le même temps captivant pour tous les masochistes qui auront suivi la carrière du bonhomme de près, Blubberella est un objet parodique déviant, dont le ton penche plus du côté des produits du binôme Aaron Seltzer / Jason Friedberg Sexy Movie, Big Movie, Spartatouille… que de South Park, comme c'était déjà le cas pour Postal. La grande majorité des scènes comiques tombent à plat, par manque de timing ou tout simplement d'humour digne de ce nom. Quand il ne refait pas presque mot à mot des scènes entières de Bloodrayne 3 en y rajoutant des blagues sur la boulimie de son héroïne ou sa nymphomanie, Uwe Boll fait tout bonnement n'importe quoi. Il met un bon mot sur les critiques de films dans la bouche d'un nazi, parodie le film Precious, se met lui-même en scène dans la peau d'Hitler… Comme s'il cherchait dans le même temps à désamorcer toute tentative de jugement à son endroit ET à donner le bâton pour se faire Boll, à gauche, dans le rôle de Adolf début des années 2010, il continue à sortir des films à un rythme soutenu, même si on sent que les moyens et les castings perdent en ce soit en essorant de façon mécanique les franchises vidéoludiques dont il a encore les droits avec King Rising 2 les deux mondes, en 2011, Dolph Lundgren et Lochlin Munro venant remplacer Jason Statham et Burt Reynolds puis King Rising 3 en 2014 où ne reste plus comme visage vaguement connu que Dominic Purcell, son nouvel acteur fétiche, au milieu d'un cast intégralement bulgare pour des raisons d'économie...Que ce soit surtout en continuant de jouer la carte de la provoque gratuite en profitant de toutes les polémiques du moment pour se parer d'une posture pseudo-révolutionnaire de façade. Il réussit son coup avec Assaut sur Wall Street où après 50 mn de drame social sur fond de crise des subprimes, il se lance dans un remake violent de Chute Libre dans le milieu de la finance. Un film bien accueilli, pour beaucoup son film le plus abouti à ce jour, où flinguer du banquier et du trader apparait comme une catharsis salutaire. Boll comprend bien l'intêret de ce nouveau filon en alignant deux suites à Rampage qui reprennent peu ou prou cette posture anticapitaliste et antigouvernementale nappé d'un discours vaguement complotiste de plus en plus nihiliste. Problème ce n°2 et surtout ce n°3, outre un opportunisme visible, sont faits à la va-vite, esthétiquement médiocres et prévisibles et n'arrivent jamais à retrouver l'efficacité brute du premier opus ou d'Assaut sur Wall Street. Des films dont la grossiereté du discours ferait passer la Casa de Papel pour un chef d'oeuvre de subversion, mais qui trouvent cependant un certain succès sur internet, au point de devenir une "oeuvre culte" pour une poignée d'exaltés du post Facebook rageur antisystème. Boll se garde d'ailleurs un petit rôle à chaque fois dans Rampage 2, Uwe Boll incarne lui-même un producteur de télé dont l'essentiel de l'utilité scénaristique consiste à approuver, édifié, les monologues conspi de son héros observé sur un écran de télé et dans le 3 une figuration en tueur. Entre ces films se glissent quelques productions plus anodines, comme le thriller politique Suddenly en 2013 avec Purcell et Liotta, ou la même année son segment dans l'oubliable anthologie d'horreur "The Profane Exhibit" où viennent se perdre des vétérans comme Ruggero Deodato ou José Mojica Marins. Des production plus confidentielles et peu médiatisées qui demontrent surtout sa capacité d'efficace faiseur pour video à partir de milieu des années 2010 les choses deviennent plus difficiles pour Boll malgré les coups de com. réguliers, comme quand il menace bruyament la Warner d'un procès pour avoir utilisé sans son accord le nom Rampage pour un blockbuster avec Dwayne Johnson. Les films du cinéaste sont loin d'être des triomphes sur le plan budgétaire car même si ses productions au look de plus en plus indigent n'ont pas coûté bien cher, elles peinent à rentrer dans leurs frais. A tel point qu'Üwe se lance dans des campagnes Indiegogo pour les financer ! Et pour son Rampage 3 n'obtient au final que 6000 $ sur les 100 000 prévus au départ. Il réussit à boucler son tournage en 6 jours montre en main et visiblement conscient de l'impasse commerciale à laquelle il est arrivé, il apparait dans une scène post crédit pour saluer son public avant de partir dans le lointain, semblant acter sa volonté d'arreter là sa 2016, après l'echec commercial de Rampage 3, Üwe Boll annonce officiellement sa retraite pour ouvrir... le Bauhaus, un restaurant gastronomique allemand à Vancouver. Un projet qu'il murit depuis plusieurs années. Décoration soignée, ambiance chic et chefs venus d'Europe, pour une fois Boll reçoit de bonnes critiques. Helas pour lui malgré un bon démarrage, il se trouve confronté de plein fouet à la crise du Covid-19 et doit laisser son restaurant fermé une bonne partie de 2020 pour finalement mettre la clef sous la porte en mars de chance pour le bouillant cinéaste qui, devant se refaire, annonce avoir déjà repris la camera pour tourner de nouveaux films. En projet, un documentaire sur la boxe, un 4ème Rampage et une fiction sur.. une tuerie de masse en Allemagne. On ne se refait filmographie d'Uwe Boll, pour disparate qu'elle soit, donne la funeste impression d'un gaillard opportuniste alignant toutes sortes de projets pour continuer à exister coûte que coûte. D'un faiseur pas vraiment appliqué et néanmoins avide de reconnaissance, avec une conscience aiguë des réactions qu'il suscite, mais qui préfèrera s'en moquer au lieu de chercher à les comprendre. Les réponses concrètes à ces attaques, formulées dans ses films, l'ont poussé à se considérer comme un auteur, et de fait ont mis à jour quelques obsessions récurrentes qui définissent aujourd'hui la touche de son cinéma, quel que soit le sujet, sa vocation commerciale ou son degré de sérieux. Une fascination pour la surenchère gore, les corps brûlés de façon cathartique, l'apparat nazi Boll y a souvent été assimilé sur le net du fait de ses origines allemandes, et il ne s'en est jamais remis, le mauvais goût, et la découverte de l'efficacité relative de la caméra portée pour favoriser l'immersion dans ses la foi de ses débuts dans l'adaptation vidéo-ludique et de la sinistre opération de comm' autour de ses matchs de boxe contre des critiques juvéniles, on avait tendance à le considérer comme un imbécile agressif, furibard qu'on vienne empiéter sur son fonds de commerce. A la vision de sa filmo de Seed à Blubberella, on est prêt à changer d'avis, et à le reconsidérer comme un taré. Mais un taré qui parvient à enchaîner les projets, à provoquer de l'intérêt autour de sa personne depuis un peu moins d'une décennie, et à entraîner dans sa folie une palanquée d'acteurs has been Edward Furlong, Brendan Fletcher, Billy Zane, et surtout Michael Paré, caution parfois surréaliste d'écarts cinématographiques toujours n'est pas encore prêts de l'ériger en cinéaste ou en auteur pour autant. Un réalisateur comme Louis Leterrier a lui aussi ses gimmicks récurrents de film en film, sans qu'on puisse considérer "Le Choc des Titans", "Hulk" et "Danny the Dog" comme une trilogie de l'émancipation. Ce qui distingue Uwe Boll des yes men hollywoodiens pour le moment, c'est uniquement l'utilisation de ses frustrations dans sa filmo récente, et qui peut donner naissance à des objets aussi foutraques que Blubberella. On lui accordera qu'il est aujourd'hui l'un des rares réalisateurs dont il devient impossible de parier sur sa carrière à venir. Après une semaine intensive de rattrapage des neuf films réalisés par ses soins depuis quatre petites années, on se dit qu'il peut aussi bien plancher sur un remake punk de "La Mélodie du bonheur", sur un porno gay avec des nains nazis, que sur un biopic grandiloquent de Gandhi.
Al'occasion de la sortie de Captain America : Civil War, nous revenons sur ce que nous avons le plus apprécié dans le film et ce qui nous a le moins convaincu.
Yo les gamers ! On est mercredi et vu l'état pitoyable de vos commentaires, je me suis cassé au soleil avec l'argent des Premium. Cela dit, je reste fidèle au poste, et pour cette nouvelle chronique, j'ai réfléchi à la possibilité d'écrire mon texte en phonétique pour vous faciliter la tâche. Pour pas vous enfermer davantage dans votre médiocrité, je ne me suis pas donné cette peine. Le nivellement par le bas, on a suffisamment donné en France ! Si vous ne comprenez pas certains mots de l'article, dites le moi dans les commentaires ci-dessous. Je vous dirai ce qu'ils veulent dire. On appelle ça le service après-vente, bande de tanches... Jeudi 3 mars 2016 La fin d'un grand mystère Bon, je viens d'avoir une révélation. Je crois qu'on est tous victimes d'un complot genre illuminati ou reptilien mené par les éditeurs de jeux. Ils cherchent par tous les moyens à nous refourguer les mêmes jeux chaque année sans qu'on s'en rende compte. Mais pas de bol pour eux, ça a fini par se voir. Et pendant la prochaine réunion secrète, c'est le gars Guillemot qu'il faudra engueuler. Pourquoi ? Parce qu'il a laissé les développeurs faire un copier-coller de la map de Far Cry 4 dans Far Cry Primal. Ils se sont peut-être dits que plus c'est gros plus ça passe, mais ils se sont fait griller. Ça valait certainement le coup d'essayer si Street Fighter VI est une copie de Street Fighter V vous saurez qui a inspiré Capcom. Bon, faut dire aussi qu'ils sont vachement occupés chez Ubi. Ils avaient sûrement pas la tête à trouver des idées originales pour Far Cry Primal. Bah ouais, ils en ont toujours pas fini avec ce ridé de Bolloré non, mais sérieux, vous avez vu sa peau !?. Et chez Ubi, c'est un peu un Tower Defense géant en ce moment. Et s'il y a bien quelque chose que les Bretons n'aiment pas, c'est qu'un parisien se tape l'incrust' chez eux ! Faut les comprendre ! Vendredi 4 mars 2016 Ils sont sévèrement burnés chez Nintendo Aujourd'hui, j'ai reçu par pigeon voyageur un scoop de ouf venu du Japon. Un informateur proche du dossier m'a révélé que chez Nintendo, ils ont organisé en interne le concours du plus grand foutage de gueule. Le gagnant voit son idée utilisée dans les plans de Nintendo et gagne son poids en amiibo du Roi Dadidou. L'idée du gagnant était tellement gonflée que même moi je n'y aurais pas pensé. Le mec a proposé que Nintendo rende les jeux Super Nintendo de la Console Virtuelle compatibles uniquement avec les New Nintendo 3DS. Comme ça, les joueurs lobotomisés qui n'en ont pas marre de racheter les mêmes jeux à chaque nouvelle génération de console vont s'acheter une New 3DS. Please understand... Faut dire aussi qu'avec cette idée, Nintendo fait d'une pierre deux coups. En plus de se taper des barres en interne en regardant les fanboys crier au génie encore une fois Nintendo a gagné hein ?, ils ont trouvé un moyen pas cher de gonfler l'inexistant catalogue d'exclusivités de la New 3DS. Du génie je vous dis ! Les jeux SNES exclusifs à la New3DS... J'en reviens pas ! Ils sont trop forts chez Nintendo. Lundi 7 mars 2016 Circulez, y'a rien à voir ! Personnellement, je m'en tamponne. Mais les deux fans de Fable qui restent sont probablement inconsolables. De quoi ? De l'annulation de Fable Legends enfin ! Faut suivre un peu ! Et plutôt que d'annoncer la fermeture de Lionhead dans la foulée, la maison de Philou dit qu'elle est en train de parler de la "fermeture proposée" du studio avec les employés. Intrigué par cette histoire, j'ai mis mes meilleurs limiers sur le coup. Et ils m'ont pas déçu. En exclusivité mondiale, je vous propose le compte rendu de la réunion entre Microsoft et les employés de Lionhead Représentant de Microsoft Messieurs dames, si je vous ai réuni aujourd'hui, c'est parce que j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Microsoft a pris la lourde décision de mettre un terme au développement de Fable Legends. Mais comme nous n'avons pas envie de fermer Lionhead, nous avons une proposition à vous faire. Cette proposition garantira la survie du studio et vous permettra de garder vos emplois. Nous souhaiterions donc vous confier le développement de nos futurs jeux Kinect et... Assistant du représentant de Microsoft l'interrompt et lui chuchote dans l'oreille Patron, on fait plus de jeux Kinect. Ça marchait pas, on est passé à autre chose. La réalité augmentée, c'est ça l'avenir ! Représentant de Microsoft Laissez tomber, je n'ai rien dit. Vous avez 15 minutes pour récupérer vos affaires et quitter les lieux. Si j'étais Microsoft, je tenterais l'annonce de l'annulation d'un jeu et de la fermeture d'un studio pendant la prochaine conférence E3. Enfin, vu le rythme où vont les choses, ils auront peut-être plus rien à annuler d'ici là... Mardi 8 mars 2016 "Merci à Ubisoft de m'avoir donné les moyens de réaliser cette chronique de fan" Ça me paraît dingue vue la lourdeur des vidéos mais il reste apparemment des buses qui n'ont pas compris que les "gros" YouTubeurs jeux vidéo ne font rien d'autre que de la pub pour les éditeurs. Pour aider les taupes à y voir plus clair, la répression de fraudes a décidé de commencer à distribuer des prunes à ces hommes sandwich new age. Et faut croire que les YouTubeurs ont commencé à sentir le vent souffler dans leur cou. En allant jeter un oeil sur les chaînes YouTube des YouTubeurs français les plus populaires comme Norman, Squeezie, ou encore Cyprien, j'ai vu que certains ont déjà changé leur manière de faire. Dans les descriptions de leurs vidéos, ils parlent désormais de vidéos "produites," "sponsorisées," ou encore "réalisées" par les éditeurs. Tiens donc ! Ils en sont pas encore au point d'utiliser le mot "publicité" mais ça viendra peut-être un jour genre. Cela dit, j'aimerais bien qu'on m'explique pourquoi ils indiquaient pas les choses clairement avant. Indépendance 6 sur 5 ! Bon, après, faut quand même ajouter qu'ils n'apportent pas cette précision dans les vidéos elles-mêmes. Attends, faut pas déconner non plus. Comme ils savent de toute façon que les 3/4 de leurs spectateurs ont 4 ans et ne savent pas lire, ça ne change pas grand chose pour eux. Les éditeurs peuvent donc continuer de dormir sur leurs deux oreilles, ils auront toujours quelqu'un pour faire la pub de leurs jeux en kit, buggués, ou tout simplement pourris. On a eu chaud ! Mardi 8 mars 2016, encore Un Euro dans la poche Alors là, j'avoue, Konami, chapeau. Vraiment. Je me souviens de l'époque où on se retrouvait avec Pierluigi Collina, un arbitre italien déjà ça, c'est suspect, en couverture de PES 3. Ça l'a pas empêché de se vendre mais niveau casting, sans déconner... C'est comme si pour un GTA on vous avait mis une pervenche sur la jaquette, souriante avec sa souche à prunes à la main. Bref, quel choix pour la star de la version physique du stand alone Euro 2016 pour PES 2016. Attention, Gareth Bale, je respecte. Comme tous les types un peu balaises, d'ailleurs. C'est un super ailier et il régale au Real. Mais là, on le choisit en tant qu'ambassadeur en vue d'une compétition où sont réunies des équipes nationales. Genre plein. Le type est gallois. Pour un jeu de rugby qui cause du Tournoi des 6 Nations, j'aurais compris. Mais le Pays de Galles à l'échelle du football ? Vous connaissez les noms des autres joueurs sélectionnés remarquez, il doit y avoir une dizaine de Davies ? Et puis, j'veux dire c'est quoi leurs chances dans le tournoi ? George Best a pas suffi à l'Irlande du Nord, et même Messi a pas encore soulevé la Coupe du Monde avec l'Argentine. Remarquez ils peuvent nous faire Grèce 2004. Mais c'est même pas ça le problème. L'Euro 2016 va se dérouler en France. C'était trop dur de tenter le coup avec un Bleu - je sais pas, par exemple Paul Pogba, un jeune que tous les grands clubs rêvent de signer - pour être raccord ? Ou alors juste mettre le logo, ça aurait fait des économies. Des sous, c'est chouette en vue de réinvestir dans les Pachislot tendance Erotic Violence, non ? Ou pour signer un joueur de l'APOEL Nicosie pour la jaquette de PES 2017 ? Chers cousins et cousines Premium, Bon, dure semaine, mais je sens que la prochaine va être pire ! Et ça, ça me met déjà en joie. D'ailleurs comme ces bigleux de Gameblog m'ont offert cette zone d'expression tous les mercredis mais bon, je suis pas dupe ça leur fait des clics, j'ai envie de vous en faire profiter. Comme je suis pas cool, je limite ça aux membres Premium et je prends 10% de com'. Vous imaginiez que je faisais ça gratos peut être ? Alors si vous en avez gros sur la patate ou que vous avez des scoops de ouf que vous ne pouvez plus garder pour vous, je vous invite chers cousins et cousines Premium à me balancer ce que vous avez sur le coeur dans les commentaires ci-dessous ou directement par MP rassure-moi tu sais utiliser internet quand même ?!. Et si t'es pas Premium, eh bien tu t'inscris maintenant et tu te mets au boulot ! Et si ça te défrise, c'est la même. Si vous êtes pas aussi nazes que je l'imagine, je choisirai chaque semaine une de vos lettres et la diffuserai en fin de chronique. Une bise pour les filles et rien pour les mecs. A mercredi prochain les pigeo... lecteurs !
Campagne La campagne Call of Duty Black Ops Cold War verra les joueurs du globe trotter vers un certain nombre d’endroits au cours de ses 15 missions. Techniquement, il y a 16 missions, mais en fonction des choix faits pendant la campagne, vous serez guidé sur un chemin différent vers la fin, ce qui signifie que vous jouez 15 missions
La note des lecteurs Les avis les plus utiles J'adore Far Cry depuis la première heure, et la série a su prendre des galons au fil des ans. Néanmoins, la qualité des deux derniers titres - New Dawn et FC6 - mène l'expérience sur la pente descendante. Dans mon test je citerais FC5 qui est le précédent et donc le plus récent exit son spin-off New Dawn afin d'éviter la comparaison avec ses pairs d'une époque Nous étions habitués à une intro qui claque, mixant set-up et élément déclencheur dans une même scène afin de nous plonger directement dans l'action. Une intro qui jusqu'alors à toujours fait son effet. Ici la sauce prend beaucoup moins, voir carrément pas à mon goût. La faute premièrement à un énorme downgrade dans la qualité des cinématiques et des premières scènes. Il suffit de se refaire le début de Far Cry 5 en jeu ou sur Youtube pour se rendre compte de la différence Vraiment, faites-le ! On peut critiquer FC5, son intro est superbe et elle est un hommage à celle de FC3. Puis notre nouvel avatar se retrouve miraculeusement échoué sur une plage, seul rescapé d'un naufrage dont les passagers ont été enfermés avant d'être envoyés par le fond à coup de gros calibre dans la coque. On pourrait comparer cette intervention divine à celle du crash d'hélicoptère de FC5 ou le héros et l'antagoniste Joseph Seed en deviennent les rescapés. Cependant dans ce FC6, cette scène d'intro ne marche pas, c'est trop facile et la tension n'est pas assez travaillée pour nous faire avaler cette Dans l'intro de Far Cry 5 - qui elle est réussie, la tension fonctionne ! Pas seulement parce qu'elle est visuellement réussie et qu'elle nous met dans une situation de stress. Mais parce qu'elle concorde avec l'écriture de Seed qui durant l'intégralité de l'histoire fera tout pour nous persuader qu'il est en contact avec Dieu et que ce dernier l'a choisi comme nouveau messie. On est donc dans le doute car même si l'on sait que notre héro et Seed sont en vie pour les besoins du jeu, les scénaristes nous amènent à nous poser une question "Est-ce la chance ou Dieu qui nous a sauvé de la mort ?" Le début et la fin du jeu joue sur ce doute permanent, entre croyance et réalité. TENSION = SUSPENS, SURPRISE, REBONDISSEMENTS = DOPAMINE HAUTE QUALITE = gameplay, du contenu et des interactions à en vomir Le monde Les effets et les textures HD sont vraiment propres et le monde ouvert est vraiment magnifique, c'est chatoyant à tout instant et on a pas grand chose à redire là dessus, les mecs savent ce qu'ils ennemis comme alliés sont bourrés de comportements qui nous sortent totalement de l'immersion. Notons aussi les PNJ scriptés qui t’interpellent à chaque TP tendant la main pour te donner une intel, une le loot. Comme je disais le monde ouvert est superbe, en revanche rien ne nous pousse à en profiter véritablement... C'est même le contraire et c'est bien là le drame CAR c'était pourtant la volonté des équipes lorsqu'ils on fait le choix de remplir la carte de coffres et de ressources... à en vomir !. A l'image de AC Valhalla, on ne prend plus aucun plaisir à profiter de notre environnement. La seule chose qui nous pousse d'un endroit à l'autre, c'est aller chercher le plus vite possible la caisse indiquée sur notre minimap car on sait qu'elle cache une arme ou un équipement. Désormais dans FC plus question de récompense par nos actions, ici on va directement chercher le butin. Et pourquoi 'le plus vite possible' ? Non pas parce que nous sommes tous des rusheurs impatients, ce serait une erreur de jugement ! Mais bien parce que implicitement nous savons qu'il y a plus de 500 coffres sur la carte et qu'on a pas assez de temps de jeu pour tout faire. Au moins dans FC5, il y avait simplement les vendeurs à qui ont pouvaient acheter TOUS les items disponibles. On est donc partagé par l'envie de s'équiper et de faire les quêtes notre progression personnelle n'étant pas parallèle celle du scénario, Il en résulte un décrochage permanent de l'action à chaque box qui pop sur la minimap. Qu'on aille chercher le loot ou non, la micro seconde de réflexion nous sort déjà de l'immersion. Conclusion Far Cry doit revoir son loot et récompenser le joueur par l'effort et l'investissement et donc mesurer ses récompenses. Il doit surprendre ses joueurs en jouant avec une vraie tension narrative tout au long du scénario. Un méchant ne suffit pas. Il doit sublimer ses scènes cinématiques, comme par le passé, avec plus d'exigence. Une star d'Hollywood ne suffit pas à créer le nous ne sommes pas tous des drogués du jeu vidéo sous perfusion... Les lootbox à foison c'est vraiment 20. Lire la suite... Joueur de Far Cry depuis le 2 2010 personellement, je viens l'ouvrir ici et ce sur tous les sujets. Ca va taper. Plusieurs années de développement et plusieurs reports pour ça... Juste honteux. On dirais que le jeu est pas fini un peu comme pour Cyberpunk Graphismes datés, les visages et les animations sont immondes même FC 2 et 3 faisaient mieux. - IA complètement a l'ouest. Déja que dans les derniers opus c'était limite mais la c'est foutage de gueule COMPLET. Même des bots en recrue sur le pire des Call Of Duty font mieux. - De l'humour non stop et des persos principaux comme secondaires débiles alors que le jeu est censé traiter de la DICTATURE. Du coup c'est quoi la prochaine étape ? Un épisode sur les camps WW2 avec des emojis et des prisonniers a la Bigard ? Au passage Ubi qui interdisait aux streamers de donner leur avis avant la sortie... Cocasse pour un jeu sur la dictature. - Les missions sont répétitives et chiantes très vite, le rythme bon de l'intro se perds directement, plein de détails sont foirés... - La boutique pour gratter du fric alors que ce jeu pas fini vaut la peau des roustons. - Le monde est grand, beau, original, belle ambiance... Mais c'est plus vide que les premiers Far Cry quoi. - Le wokisme et la bienpensence toxiques bien implantés dans le jeu. Clairement ca passe pas. - La dimension RPG a la c*n qui deviens horrible dans les jeux Ubi - Le mode Creation de Maps ou ARCADE existe plus, alors que dans FC 3 4 et 5 c'était génial - Oser sortir un Collector de luxe qui parait sympa... mais finalement dégeulasse et à 200 balles, que sur le site Ubisoft qui plus est une nouvelle résumé Histoire foirée, monde vide, graphiquement moyen, plein de principes et contextes a gerber, IA aux fraises, gameplay foiré, quasi rien de nouveau, des modes supers retirés, wokisme a outrance, dimension RPG foirée. En gros en 10 ans avec Ubisoft Les derniers Tom Clancy s'avéraient prometteurs... Ubisoft a tout foiré dont le prochain en F2P a peine révelé. Far Cry 6 paraissait super... Ils l'ont loupé. R6 Siege était excellent... Ils l'ont pourri. Watch Dogs 1 devait être une révolution... Ca a fini en déception. Et il y en a tellement d'autres que je cite pas. Ubisoft c'est terminé. Clairement. + pour JVC 16/20 pour ce Far Cry, minimum 14/20 pour des Call Of a chier, et mettre 12 ou 13 a des jeux sympas ou excellents... Ca se vois on vous paye grassement hein. Vous n'êtes en rien des passionnés. Lire la suite... Tous les avis lecteurs 131 Trier par Utilité Note Date 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Page suivanteFin J'adore Far Cry depuis la première heure, et la série a su prendre des galons au fil des ans. Néanmoins, la qualité des deux derniers titres - New Dawn et FC6 - mène l'expérience sur la pente descendante. Dans mon test je citerais FC5 qui est le précédent et donc le plus récent exit son spin-off New Dawn afin d'éviter la comparaison avec ses pairs d'une époque Nous étions habitués à une intro qui claque, mixant set-up et élément déclencheur dans une même scène afin de nous plonger directement dans l'action. Une intro qui jusqu'alors à toujours fait son effet. Ici la sauce prend beaucoup moins, voir carrément pas à mon goût. La faute premièrement à un énorme downgrade dans la qualité des cinématiques et des premières scènes. Il suffit de se refaire le début de Far Cry 5 en jeu ou sur Youtube pour se rendre compte de la différence Vraiment, faites-le ! On peut critiquer FC5, son intro est superbe et elle est un hommage à celle de FC3. Puis notre nouvel avatar se retrouve miraculeusement échoué sur une plage, seul rescapé d'un naufrage dont les passagers ont été enfermés avant d'être envoyés par le fond à coup de gros calibre dans la coque. On pourrait comparer cette intervention divine à celle du crash d'hélicoptère de FC5 ou le héros et l'antagoniste Joseph Seed en deviennent les rescapés. Cependant dans ce FC6, cette scène d'intro ne marche pas, c'est trop facile et la tension n'est pas assez travaillée pour nous faire avaler cette Dans l'intro de Far Cry 5 - qui elle est réussie, la tension fonctionne ! Pas seulement parce qu'elle est visuellement réussie et qu'elle nous met dans une situation de stress. Mais parce qu'elle concorde avec l'écriture de Seed qui durant l'intégralité de l'histoire fera tout pour nous persuader qu'il est en contact avec Dieu et que ce dernier l'a choisi comme nouveau messie. On est donc dans le doute car même si l'on sait que notre héro et Seed sont en vie pour les besoins du jeu, les scénaristes nous amènent à nous poser une question "Est-ce la chance ou Dieu qui nous a sauvé de la mort ?" Le début et la fin du jeu joue sur ce doute permanent, entre croyance et réalité. TENSION = SUSPENS, SURPRISE, REBONDISSEMENTS = DOPAMINE HAUTE QUALITE = gameplay, du contenu et des interactions à en vomir Le monde Les effets et les textures HD sont vraiment propres et le monde ouvert est vraiment magnifique, c'est chatoyant à tout instant et on a pas grand chose à redire là dessus, les mecs savent ce qu'ils ennemis comme alliés sont bourrés de comportements qui nous sortent totalement de l'immersion. Notons aussi les PNJ scriptés qui t’interpellent à chaque TP tendant la main pour te donner une intel, une le loot. Comme je disais le monde ouvert est superbe, en revanche rien ne nous pousse à en profiter véritablement... C'est même le contraire et c'est bien là le drame CAR c'était pourtant la volonté des équipes lorsqu'ils on fait le choix de remplir la carte de coffres et de ressources... à en vomir !. A l'image de AC Valhalla, on ne prend plus aucun plaisir à profiter de notre environnement. La seule chose qui nous pousse d'un endroit à l'autre, c'est aller chercher le plus vite possible la caisse indiquée sur notre minimap car on sait qu'elle cache une arme ou un équipement. Désormais dans FC plus question de récompense par nos actions, ici on va directement chercher le butin. Et pourquoi 'le plus vite possible' ? Non pas parce que nous sommes tous des rusheurs impatients, ce serait une erreur de jugement ! Mais bien parce que implicitement nous savons qu'il y a plus de 500 coffres sur la carte et qu'on a pas assez de temps de jeu pour tout faire. Au moins dans FC5, il y avait simplement les vendeurs à qui ont pouvaient acheter TOUS les items disponibles. On est donc partagé par l'envie de s'équiper et de faire les quêtes notre progression personnelle n'étant pas parallèle celle du scénario, Il en résulte un décrochage permanent de l'action à chaque box qui pop sur la minimap. Qu'on aille chercher le loot ou non, la micro seconde de réflexion nous sort déjà de l'immersion. Conclusion Far Cry doit revoir son loot et récompenser le joueur par l'effort et l'investissement et donc mesurer ses récompenses. Il doit surprendre ses joueurs en jouant avec une vraie tension narrative tout au long du scénario. Un méchant ne suffit pas. Il doit sublimer ses scènes cinématiques, comme par le passé, avec plus d'exigence. Une star d'Hollywood ne suffit pas à créer le nous ne sommes pas tous des drogués du jeu vidéo sous perfusion... Les lootbox à foison c'est vraiment 20. Lire la suite... Joueur de Far Cry depuis le 2 2010 personellement, je viens l'ouvrir ici et ce sur tous les sujets. Ca va taper. Plusieurs années de développement et plusieurs reports pour ça... Juste honteux. On dirais que le jeu est pas fini un peu comme pour Cyberpunk Graphismes datés, les visages et les animations sont immondes même FC 2 et 3 faisaient mieux. - IA complètement a l'ouest. Déja que dans les derniers opus c'était limite mais la c'est foutage de gueule COMPLET. Même des bots en recrue sur le pire des Call Of Duty font mieux. - De l'humour non stop et des persos principaux comme secondaires débiles alors que le jeu est censé traiter de la DICTATURE. Du coup c'est quoi la prochaine étape ? Un épisode sur les camps WW2 avec des emojis et des prisonniers a la Bigard ? Au passage Ubi qui interdisait aux streamers de donner leur avis avant la sortie... Cocasse pour un jeu sur la dictature. - Les missions sont répétitives et chiantes très vite, le rythme bon de l'intro se perds directement, plein de détails sont foirés... - La boutique pour gratter du fric alors que ce jeu pas fini vaut la peau des roustons. - Le monde est grand, beau, original, belle ambiance... Mais c'est plus vide que les premiers Far Cry quoi. - Le wokisme et la bienpensence toxiques bien implantés dans le jeu. Clairement ca passe pas. - La dimension RPG a la c*n qui deviens horrible dans les jeux Ubi - Le mode Creation de Maps ou ARCADE existe plus, alors que dans FC 3 4 et 5 c'était génial - Oser sortir un Collector de luxe qui parait sympa... mais finalement dégeulasse et à 200 balles, que sur le site Ubisoft qui plus est une nouvelle résumé Histoire foirée, monde vide, graphiquement moyen, plein de principes et contextes a gerber, IA aux fraises, gameplay foiré, quasi rien de nouveau, des modes supers retirés, wokisme a outrance, dimension RPG foirée. En gros en 10 ans avec Ubisoft Les derniers Tom Clancy s'avéraient prometteurs... Ubisoft a tout foiré dont le prochain en F2P a peine révelé. Far Cry 6 paraissait super... Ils l'ont loupé. R6 Siege était excellent... Ils l'ont pourri. Watch Dogs 1 devait être une révolution... Ca a fini en déception. Et il y en a tellement d'autres que je cite pas. Ubisoft c'est terminé. Clairement. + pour JVC 16/20 pour ce Far Cry, minimum 14/20 pour des Call Of a chier, et mettre 12 ou 13 a des jeux sympas ou excellents... Ca se vois on vous paye grassement hein. Vous n'êtes en rien des passionnés. Lire la suite... Les premières heures sont sympa jusqu'à ce que le jeu se dévoile réellementMissions qui consiste à faire 3 chose en boucle, sauver otage, détruire objet, tuer ces gensIA qui est complétement inexistante, même sur Pacman on a mieuxPas d'allié humain malgré les dizaines de résistants qu'on aide, eux nous aide jamais en retour, vu l'IA ça m'étonne pasLes amigos sont vraiment bien par contre de même pour l'ambiance générale et la map qui est très grande et bien fournisBref un jolie monde mais vide d'âme signé Ubisoft encore et toujours Lire la suite... Très très grosse déception pour moi que ce FC 6. Ayant pourtant adoré les épisodes jusqu'à Primal, et un poil déçu par le 5, j'en attendais beaucoup de ce sixième épisode que nenni. Ce que je retiens de ce jeu en terme de qualités et de défauts Qualités - Ambiance vraiment cool - Paysage magnifique - Gameplay toujours aussi nerveux et agréable à prendre en main - Grosse durée de vie si on accroche un temps soit peu - Puis c'est toutdéfauts - IA catastrophique, il serait temps de se pencher dessus - Autant les paysages sont somptueux, comme autant la modélisation des personnages est d'un autre temps - Extrêmement répétitif et redondant - le scénario d'une nullité abyssale bon remarque un ne joue pas à un FC pour ça - Pas de sauvegardes manuelles, sympa hein ? - L'arbre de compétence disparait au profit d'un système de tenu complètement bancal et inutile - Le wokisme made in Ubisoft toujours aussi présent je joue pour me détendre, pas pour me taper de l'idéologie politique à deux balles - Des bugs, des bugs et encore des bugsBon bref, en résumé, si vous n'avez jamais fait de FC pourquoi pas, les autres passez votre chemin. Cet épisode n'en vaut pas la peine. Lire la suite... Comment avez-vous pu mettre 16/20 ? Je viens de faire 6h de jeu, je vais arrêter... L'ambiance est bonne mais l'univers n'a AUCUNE cohérence. On passe de situations ultra tendues / sérieuses pères de familles qui se font tuer, gens qui se font cramer ou noyer... et 2minutes après, on a des blagues vraiment bidons...L'intro était super bonne, j'étais bien dans l'ambiance... Mais là c'est trop dans l'humour le mauvais, ça va pas du tout par rapport à la cause qui est défendue... On a l'impression d'avoir vu les personnages déjà dans pleins de jeux, tout est hyper classique...Le portable qui permet de voir dernière les murs... c'est quel smartphone qui fait ça franchement ? Non honnêtement, Ubisoft reprend des mécaniques de tous ces jeux, ils les réutilisent de partout... ça donne des jeux complètement incohérents. Il y a des voitures, de la nature de partout... mais on utilise par exemple des bornes pour faire "apparaitre" des chevaux ou autre pour se déplacer. Comment pouvons nous rester focus dans le jeu ? Tout est fait pour nous casser l' le ton utilisé qui dénote complètement par rapport à l'histoire ou par rapport à des situations difficiles, les incohérences voitures qui passent à travers les arbres, le téléphone, le fait de pouvoir tuer tous les civils du jeu sans aucune conséquences, l'IA complètement à la rue etc etc.8/20 pour moi en tout franchise. Lire la suite... Et voilà, Ubisoft signe de nouveau le meilleur de son savoir faire Un beau jeu mais pas vraiment optimisé ça s'arrangera avec les MAJs Une IA qui ressemble plus à une AI Absence d'Intelligence Une histoire tellement creuse...Et une petite boutique pour grappiller encore quelques ce jour, je m'acharne encore malgré moi sur AC mais je crois qu'Ubisolft comme Blibli sont définitivement en plein déclin.. RIP les bons jeux. Lire la suite... 20/20 le jeu est censé me faire un café tous les matins et il doit être bon et 0/20 le jeu a insulté, de façon répétée et en plusieurs langues, ma grand les gogoles qui notent le jeu 20/20 pour "remonter la note". Personne ne vous demande de faire en sorte que le jeu arrive à la note que vous désirez, on vous demande de noter le jeu selon votre expérience. C'est le genre de débilité qui fait que d'autres le note 0/20... Utiliser cervelle trouver problème début ce qui concerne ce Far cry 6, c'est divertissant, ca reste dans la lignée des autres. C'est sympa, pendant quelques heures, sans plus. Au final, c'est du vu et revu. 13/20. BOOM, salutations. Lire la suite... Les années se suivent et se ressemblent pour les jeux Ubisoft Jeu vide au possible et répétitif! Faire un open world vaste mais vide à 70% et ou il ne se passe rien n'a aucun intérêt. C'est de la logique pourtant non ? Far cry 6, Ghost Recon, même combat c''est d'une pauvreté absolue mais en open world donc on met 16/20 & 17/20... quelle impartialité et objectivité de qui poussent des gens crédules à acheter ce jeu! Quelle honte pour ce site de moins en moins recette semble simple pourtant, s'inspirer de Far cry 1 & 3, voir de Crysis pour l'environnement "îles paradisiaques" à méditer Lire la suite... Demandez aux streameurs et journalistse JV de faire un live la veille de la sortie du jeu en interdisant à ses même journalistes de donnez leurs avis sur le jeu c'est quand même le comble pour un jeu qui à pour sujet principal la dictature. J'ai fini la trame principale ce matin et ... quel dommage. Rien ne va. Je m'explique. GRAPHIQUEMENT C'est pas bon du tout . Sérieux J'ai l'impression d'être en début PS4 la. Killzone Shadow Fall était plus jolie je suis navré. Alors oui c'est pas un open world etc.. mais le jeux a 8 ans et une génération de console les sépare donc pas d'excuse Encore la nature et les decors sont plutot jolie et l'ambiance est bonne mais les visages... LES VISAGES ! Non quoi ! Ca va pas , meme FIFA 18 sur PS4 fait mieux quoi ! Il est grand temps pour Ubi de retravailler/Changer de moteur de jeux. Elle est loin l'époque de Far CRY/ 2/3 qui étaient des références graphique et nous mettaient une petite gifle à chaque sortie. La c'est en dessous des standards actuel et si Ubisoft ne fait rien il vont se retrouver complètement largué face à tout les autres studios. SCENARIO Quel déception !! Je m'attendais a une ambiance pesante. On vis des moments graves dans le jeu ! On parle d'esclavage, de genocide, de dictature et nous on fait quoi dans tout ca ? On caresse un crocodile avec une dent en Or et on fait des combat de coq style Street fighter. Le ton " Fun" du jeux est juste insupportable. Notre héros le dit clairement " Je tue des gens car c'est fun". C'est ca un héros ? C'est ca les idéaux d'une révolution ? Tout les personnages secondaire sont également d'un cliché et d'un chiant ! Sauf l'antagoniste principal et son fils que j'ai trouvé plutôt bien écrit mais on les voit ... JAMAIS ! comme d'hab enfet ! Donc enfet a part , bruler des champs, libérez des avants poste, libérez des otages... on attend. On attend une potentiel nouvelle cut scène faisant avancer l'intrigue. Et je vous préviens le rythme du jeu n'est pas bon alors vous allez attendre. La scénarisation des mission est bas de gamme. Les personnages mal écrits, clairement on ne viens pas sur Far Cry 6 pour son scenario et c'est bien Désolé de vous décevoir mais une fois de plus c'est non. J'ai même l'impression qu'on régresse bizarrement. Par exemple, la nouveauté de cet opus c'est "les amigos" des animaux qui se battent a nos coté. Mais en vérité c'est présent depuis Far Cry Primal et j'irais même plus loin en disant que le système d'animaux + mercenaire présent dans FC5 était plus complet. Comme indiqué plus haut le schéma de quête est toujours le même malheureusement et le jeu en deviens très répétitif. Une chose m'a beaucoup agasse lors de mon aventure Pourquoi notre héros est toujours tout seul lors des missions ? Pourtant le jeu nous présente bien de nombreux guerrier révolutionnaire mais non il sont juste la pour nous donner des Quêtes et nous laisser faire tout le salle boulot. Il font quoi eux ? Ils se sirotte un mojito à leurs base pendant que nous on doit détruire la plupart des avant poste de Castillo. Pas logique. Manque de cohérence une fois de plus. L'IA est catastrophique et la difficulté du titre inexistante. En conclusion. Je suis déçu. Je m'attendant a un opus qui aurait tenté, innové et osé et je me retrouve avec un jeu sans âme, qui ne tente rien voir même qui régresse face un un Far Cry 5 déjà pas foufou et en manque de souffle. Lire la suite... En clair,a la lecture du test de Le jeu est moyen,répétitif,du cliping et des bug, des nouveauté par utilisé, une arme de base qui a suffit a finir le jeu, et pour pour finir un jeu court payer 80 euros sur Ps5 ou en 20h c’est plié…Tout cela pour un 16/20… mdrrr ..les partenariats..J’imagine même pas si c’était une exclu Microsoft, la note aurait été de 11/20 facile avec comme titre le copier coller de trop !! » Lire la suite... Je vais faire court et l'impression d'avoir déjà joué à 50 jeux comme celui là. Rien de nouveau sous le soleil, des mécaniques ultra classiques, du coup je m'ennuie assez vite. Mais le jeu en lui même est solide. Solide mais trop Ubisoft prendra des risques ? Lire la suite... si vous n avez jamais toucher a un far cry, il est solide et sympa a decouvrir je lui mettrais un 16 c est sur, mais si vous avez deja fais les premiers , il depasse pas les 11 - graphiquement depassé , c est pas de la next gen sur ps5, c est un jeu milieu de vie ps4 -map tres jolie -histoire classique sans surprise on sait deja comment tout va se passer, rien de nouveau et notre personnage est decevant et sans aucun charisme ni interet - tout le gameplay d un far cry avec quelques nouveautés par ci par la histoire de faire croire qu ils ont bosser sur le jeu -les ennemi sont nuls, on y joue vraiment pas pour le challenge mais pour un defouloir bref, c est un bon jeu classique on s y amuse un peu comme sur un just cause , mais rien de grandiose , on va vite l oublier Lire la suite... Grosse déception, enfin, "grosse", ce n'est pas vrai, dans la suite logique du 4 et 5 et l'horreur du supplément au 5, il n'apporte rien, et ils devrais vraiment arrêter cette série pour continuer a faire Open world = Depuis que ces la mode, ca n'a plus aucun intèrêt, la fausse illusion d'être libre de faire ce qu'on veux ca ne fait plus marcher Graphique = Zéro évolution, mais c'est jolis, les passages nuits/jours et inversément sont Scénario = Une blague, en gros c'est exactement la même chose depuis le 3, on change juste le nom du méchant et le nom de la drogue/ressources qu'ils exploitent, pour le reste c'est IDENTIQUEMENT la même chose a la limite le 5 avais un coté redneck amerlock marrant. Ici on ne se sent pas concerné par les évènements, et pour tout dire on s'en Arsenal = pfffff, le matos est fixe, ont a pas se plaisir de ramasser les armes de ceux qu'on a tués, donc on utilise toujours les même qu'on personnalise un peu, mais je vois pas l'intérêt...-Véhicule = Ajout d'un char, voila ces tout, et ils ont réussi a rendre la conduite des véhicules encore plus nulle, et leurs réaction sur la routes, sur les obstacles dans les collines les rends injouables au pire, et absolument pas fun au = Est-ce nécessaire de précisé que AUCUNE p..... d'évolution en 10 ans ca commence à un peu faire ch... .Bref c'est un FPS ultra lambda, qui semble limite cheap et dont le temps de jeu n'est rallongé que part la taille de la carte et la lenteur des déplacement. Lire la suite... Au moins il est mieux que le 5 qui avait grave souffert de sa barre de chao qui forçais l'avancer et rendait le jeu trop simple après la première zone. Mais on reste loins d'un bon far n'as pas retenue la leçon de ghost recon breakpoint. le loot et le soft RPG ça n'as RIEN a foutre dans un far cry -Ambiance parfois trop loufoque comparer aux sérieux de l'intro ça tue la cohérence dommage car le début de jeu est bon -Faut vraiment arrêter de laissez le choix du perso car le héro a vraiment aucun intérêt. -IA toujours indigne de ce qu'il se fait depuis plus de 10 ans -Le monde ouvert manque cruellement de cohérence -Go remettre le craft sérieux les impatient du bulbe on cas jouer à un autre jeu si l'animation de dépeçage les seul truc positif c'est l'arriver des tank et l'aventure qui est mieux penser pour le coop mais bon c'est sensé être secondaire à mes yeux, un bon far cry c'est un bon solo en mode die hard dans la jungle puis rambo en late game pas un bac a sable coop.En vrai y manque pas grand chose sans le coté RPG/loot, et juste une IA un poil plus intéressante je luia urais mi genre 13-14 et j'aurai recommander le jeu rien que pour le faire en coop mais là... à fuir vraiment. Lire la suite... Deja "retour aux sources"...non mais...j'espere que vous parlez pas du vrai Farcry de Crytek ?..en gros une map ouverte sans les zones pourries a la "ubi soft" a déverrouiller, avec un boss par zone...tjrs pareil chez Ubi. Bref j'ai testé le jeu chez un ami, on se retrouve devant un nouveau skin d'un jeu typique de Ubisoft depuis des années, quelques petits trucs en plus pour dire que ça justifie les ventes, et on balance le concept usé jusqu’à la corde dans les bacs. C'est un beau jeu. Comme disent déjà certains joueurs, l'humour après certaines scènes est mal placé mais la "mise en scène" est plutôt bien, mais on je m’embête au bout de quelques minutes parce qu'en fait, c'est du déjà vu. Lire la suite... LaPlayStation 3 et la Xbox 360 conservent toutes les deux un rythme de croisière, à des volumes de ventes très différents. Les ventes de jeux au Japon du 18 au 24 juillet 2011 : [Wii] Rhythm Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme rythme dans la peau — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
Testjeu vidéo, dans la peau d’un "Vampyr" Le 17/06/2018 à 17:05. Avec Vampyr, le studio DontNod Entertainment délivre un jeu d’aventure de qualité, qui vaut plus par sa narration que par son action. Test The Commodore C64, retour vers le passé Le 08/06/2018 à 16:33. Le Retro gaming est à la mode et la société Retro Games Ltd en profite pour redonner vie au
Demandez à n’importe quel joueur un peu acharné ce qu’il préfère la nuit, et vous obtiendrez souvent la même réponse des sensations fortes devant un bon survival-horror ». Voici donc une sélection des plus grands titres du genre, de 1992 à nos jours. En matière de jeux vidéo, il n’y a pas que pendant la période d’Halloween que l’on aime avoir peur. Des titres qui se révèlent terribles », effrayants » ou effroyables », il en sort à longueur d’année. Mais des jeux qui nous procurent vraiment la chair de poule, qui vous immergent réellement dans un monde qui a de quoi vous faire bondir de notre siège, il n’en existe finalement que quelques-uns, finalement. Car c’est tout un art que de recréer à l’aide de quelques pixels et d’une bande-son un univers démoniaque, parfois même sans verser la moindre goutte de donc confortablement, et laissez-vous entraîner dans l’univers des titres les plus terrifiants de l’univers du jeu vidéo… Outlast 2013 — Windows Faire en sorte que le joueur se sente totalement impuissant est l’un des moyens les plus efficaces pour l’effrayer totalement. Mais rares sont les jeux qui parviennent à un degré tel, qu’on se sent vraiment dépassé par les événements. C’est le pari réussi d’Outlast. Un journaliste intrépide, Miles Upshur, enquête sur la très mauvaise réputation de l’asile Mount Massive… Il se retrouve très rapidement entouré de détenus sanguinaires, presque inhumains. Et ils feront tous pour ne pas le laisser repartir vivant. Vous pouvez courir, vous cacher et utiliser votre caméra afin d’éclairer les endroits sombres. Et c’est à peu près tout, car ici, vous passerez surtout votre temps à éviter les détenus et n’aurez pas d’arme pour vous en débarrasser. Slender The Eight Pages 2012 — Windows / Mac Le principe de Slender est assez simple vous vous promenez dans une forêt, la nuit, et vous devez collecter les huit pages d’un journal éparpillées au hasard. Vous pouvez vous aider d’une lampe-torche pour vous y retrouver, et courir d’un endroit à un autre. Le seul hic est le Slender Man littéralement l’homme élancé », une sorte d’ombre horrible, qui vous poursuit et tente de vous tuer, et qui va de plus en plus vite dans ses déplacements au fur et à mesure que vous réunissez des pages. Mais la réelle surprise vient surtout de la fin, qui ne se passe pas tout à fait comme prévu, même quand vous avez atteint votre objectif. Amnesia The Dark Descent 2010 — Windows / Mac / Linux Dans Amnesia, votre personnage se balade dans un environnement fantasmagorique et sombre, et doit résoudre des énigmes assez simples. En revanche, si vous restez trop longtemps dans le noir, c’est votre santé mentale qui en pâtira, et vous ferez l’expérience d’hallucinations terrifiantes. A contrario, si vous restez trop longtemps dans la lumière, vous vous exposez à des monstres qui hantent les ténèbres. Bref, à vous de doser les passages d’ombre et de lumière comme il se doit, afin de terminer l’aventure dans de bonnes conditions physiques et psychologiques. Alan Wake 2010 — Xbox 360 / Windows Voilà de quoi plaire aux fans d’horreur et d’épouvante façon Stephen King. Lorsque Alan Wake, un célèbre auteur de romans policiers, emmène sa femme pour une retraite bien méritée dans le nord-ouest, les choses virent très rapidement au cauchemar. Très rapidement, Alan se trouve seul dans des camps abandonnés d’exploitation forestière, arpentant les routes de campagne et les parcs boisés de l’État de Washington, avec pour seuls compagnons une lampe de poche et un pistolet. Il devra se défendre contre les ombres et les monstres, qui semblent le produit de son imagination débordante… Minecraft 2009 — Xbox 360 / Windows / Linux / Mac OS X / iOS / navigateur web Au premier abord, Minecraft peut faire peur, certes, mais essentiellement par son design » fait de briques et de gros pixels. Toutefois, après quelques heures de pratique et une fois rentré dans l’ambiance, le joueur va rencontrer malgré lui les zombies, les araignées et, surtout, les Creepers et leurs sifflements à vous dresser les poils dans le dos. Ils restent les créatures les plus effrayantes, explosant tout sur leur passage, vous, votre équipement et votre maison avec. Le pire arrivant évidemment lorsque vous creusez des galeries et que vous tombez sur des générateurs de monstres cernés de laves et d’araignées empoisonnées… Peut-être pas la définition par excellence du jeu d’horreur, mais de quoi vous procurer de sacrées décharges d’adrénaline. Left 4 Dead 2008 — Xbox 360 / Windows / Mac Les jeux d’horreur se concentrent généralement sur un unique protagoniste. Left 4 Dead démontre que vous n’avez pas à subir tout seul » les assauts de votre propre peur irraisonnée. Dans ce jeu, vous incarnez l’un des 4 survivants dans un monde rempli de zombies. Vous et trois autres de vos amis » luttez progressivement contre des attaques de plus en plus virulentes de morts-vivants. L’IA va s’adapter à votre comportement et générer en conséquence des monstres et des munitions. Si les ennemis peuvent sembler grotesques, il vous faudra surtout éviter de vous retrouver à court de munitions ou d’énergie. Dead Space 2008 — Xbox 360 / PlayStation 3 / Windows Dead Space est davantage un jeu d’action qu’un véritable titre d’horreur. Mais si vous souhaitez vous frotter à des ennemis terrifiants, sans avoir à courir, vous cacher ou préserver vos munitions, le jeu devrait remplir son office. Vous incarnez Isaac Clarke, un ingénieur de l’USS Ishimura. Quand des créatures inhumaines appelées les Nécromorphes envahissent le vaisseau, c’est à vous qu’il incombe de les démonter », membre après membre. Ce jeu procure de belles sensations fortes, même s’il est parfois difficile de se sentir menacé quand on porte une armure surpuissante. 2005 – Xbox 360 / PlayStation 3 / Windows est un FPS dans la plus pure tradition du genre. Vous incarnez l’un des membres d’une unité spécialisée dans le paranormal. Votre objectif est de retrouver un individu nommé Paxton Fettel, tout en affrontant des Réplicas. Mais gare, car la petite Alma, icône emblématique du jeu, se montre ici et là. Et elle vous donnera des sueurs froides tout au long de votre progression. Le jeu vous donnera du fil à retordre, car dispose d’une IA au niveau rarement égalé. Eternal Darkness Sanity’s Requiem 2002 — GameCube Eternal Darkness jette le joueur dans la peau d’Alexandra Roivas celle-ci découvre un livre effroyable, qui permet de revivre les horreurs qui se sont produites à différentes époques. Vous voyagerez donc dans la Rome Antique, dans la France médiévale et à l’époque de la Renaissance en Italie, entre autres. Eternal Darkness se montre finalement très orignal par son système de jeu, et réserve quelques moments d’effroi anthologiques. Silent Hill 2 2001 — PlayStation 2 La version originale de Silent Hill était déjà bien effrayante, mais était un peu gâchée » par la puissance modique de la première PlayStation. La suite, Silent Hill 2, représente finalement tout ce que le premier volet aurait dû être étrange, sinistre et absolument angoissant. La ville de Silent Hill, qui vit dans un brouillard perpétuel, est à nouveau le théâtre de phénomènes étranges. James Sunderland reçoit une lettre de sa femme, morte depuis quelques années. Ce qui suit est un voyage dans la psyché d’un individu profondément perturbé, tandis que la ville rend réelles ses pires craintes. System Shock 2 1999 — Windows System Shock 2 porte de nombreuses étiquettes FPS first-person shooter, jeu de rôle, survival-horror… et il les porte bien. Le protagoniste principal doit affronter Shodan, une diabolique IA qui a pris les commandes d’un vaisseau spatial. Pour réussir, il va devoir se frayer un chemin à travers un équipage infecté par un mal étrange, pirater des secrets qu’il vaudra mieux oublier, et faire face à la trahison et aux assassinats en tout genre. Même si vous pouvez améliorer vos compétences, la difficulté pour vous débarrasser des ennemis et vos ressources limitées rendent l’aventure de plus en plus tendue. Koudelka 1999 — PlayStation Horreur et jeux de rôle japonais vont rarement ensemble. Après tout, il est difficile de créer un sentiment de suspense ou de terreur en étant au calme, et en jouant au tour par tour. Koudelka s’y est essayé, néanmoins. Si le résultat n’est pas parfait, il s’agit de l’un des jeux de rôle les plus insolites et les plus fascinants réalisés sur la première PlayStation. Un médium nommé Koudelka entre dans une abbaye galloise en l’an 1898 à Halloween… Ce qui s’ensuit est un conte classique mêlant horreur gothique, démons et malédictions. Resident Evil 1996 — PlayStation / Windows / Sega Saturn Si Resident Evil n’est pas le premier survival-horror, mais il a permis de rendre ce type de jeu beaucoup plus populaire qu’il ne l’était en 1996. Bien que ce titre ressemble à un jeu d’action à la troisième personne, la stratégie qui consiste à simplement courir et tirer un peu partout ne fonctionne pas du tout. Dans Resident Evil, il vous faut préserver vos munitions, résoudre des énigmes et explorer un environnement qui a de quoi vous faire dresser les cheveux sur la tête. Même si ce titre n’est plus aussi effrayant qu’il l’était à son lancement, les zombies et le rythme du jeu restent indémodables. Doom 1993 – MS-DOS L’un des arrières grands-pères des jeux d’horreur est Doom, un jeu de tir classique à la première personne, qui fait toujours parler de lui de nos jours. Vous incarnez un marine de l’espace envoyé sur Mars. Lorsque des expériences de téléportation tournent mal, c’est à vous d’endiguer le flot de démons qui envahissent votre espace vital, à l’aide de fusils, de tronçonneuses et de tout ce qui peut faire saigner » vos adversaires. Le jeu est violent et sanglant à un point tel qu’il s’agit quasiment d’une parodie du genre. En revanche, les créatures sont vraiment effrayantes et ont ouvert la voie au genre moderne de l’horreur. Alone in the Dark 1992 — MS-DOS Si vous êtes à la recherche d’une histoire classique de maison hantée, Alone in the Dark a tous les atouts pour vous séduire. Quand Jeremy Hartwood, un artiste de renom, se suicide dans son manoir de Louisiane, c’est à un détective privé et à sa nièce de reconstituer toute l’histoire. Comme vous vous en doutez, la maison est en réalité la proie de fantômes, de zombies, de rats géants, et d’autres choses qui auront de quoi vous tenir en haleine une bonne partie de la nuit. Évidemment, le jeu peut sembler très rudimentaire graphiquement par rapport à ce qui se fait actuellement, mais il a été l’un des tout premiers jeux d’horreur à proposer des graphismes en 3D. À essayer impérativement, ne serait-ce que pour découvrir ce par quoi tout a commencé… Australie: le corail de retour dans certaines parties de la Grande Barrière Le thé est bon pour la peau : acné, relâchement cutané, rides Insolite : un restaurant éphémère inspiré de la
Indépendant mais pas amateur, Night School Studio a été fondé en 2014 par une poignée de professionnels passés notamment par les studios Telltale pour la narration et Disney pour la direction artistique. Dès son annonce, Oxenfree suscite la curiosité autant pour son cachet visuel affirmé que pour son orientation narrative un groupe d'adolescents en cavale sur une île en proie à des phénomènes paranormaux. Jusqu'au jour de sa sortie, Night School n'exhibera et ne commentera que très peu son jeu, mais affiche néanmoins ses ambitions, notamment en se liant à Skybound Entertainment le label de Robert Kirkman en vue de concevoir un film. Mais voyons déjà de quoi il en retourne manette Xbox One ou PC en main. Condition de test Ce test de Oxenfree a été réalisé à partir d'une version commerciale Xbox One. Oxenfree Aventure narrative 15 janvier 2016 Franchise Oxenfree PC XONE PS4 Switch Notre comparateur de prix PC Humblebundle 8,19 La première idée lumineuse d'Oxenfree est de ne pas être un walking simulator, mais un walking-talking simulator. Bigre. Concrètement, cela veut dire que le joueur garde en toutes circonstances ou presque le contrôle de son personnage pendant que la narration déroule. Pas un visual novel, pas un point & click non plus, Oxenfree impose rapidement sa règle de base interdiction de laisser son esprit divaguer une seule seconde, car les bulles de dialogues boutons X, Y et B qui apparaissent constamment sur la tête d'Alex, le personnage manipulé par le joueur, ne mettent que peu de temps avant de s'évanouir. Pour le bien de la mise en scène, le choix de la réplique doit donc être rapide. Il faut dire que le rythme de la narration est vraiment une des bases fortes du concept d'Oxenfree, dont le tempo évoque moins le cinéma ou les séries télévisées qu'une véritable pièce de théâtre, où les réparties s'enchaînent sans temps mort et avec une fluidité admirable. Peut-être trop parfois, tant Alex va avoir une drôle de tendance à couper net la parole. D'ailleurs précisons-le tout de suite, le rythme soutenu des conversations et l'absence de VF voix ou sous-titres impliquent d'être un minimum à l'aise avec l' parle donc tu me suisOxenfree est donc pensé autour de cette faculté à dérouler sa narration en même temps que le joueur peut garder une emprise manuelle sur son personnage, choisir ses réponses ou même de trafiquer la radio on en reparle après. A l'exception de quelques rares moments plongés dans des événements un peu trop surnaturels, le joueur ne se voit jamais retirer la manette des mains. Ça n'est peut-être pas grand chose, mais avoir la liberté de jeter un caillou dans l'eau, de se servir une bière ou de remettre une bûche dans le feu tout en participant à "action ou vérité" sur la plage pourrait faciliter la vie de ceux qui ont du mal à entrer dans les jeux narratifs. Cela dit, plus que le contrôle corporel d'Alex, c'est bien celui de sa langue qui importe. Ce qui va compter au moment de boucler Oxenfree, c'est ce que le joueur aura fait avec les répliques qu'on lui aura commandes d'Alex, vous serez responsable en grande partie de la qualité relationnelle que l'adolescente aux cheveux teints en bleu décidément une tendance après La Vie d'Adèle et Life is Strange va entretenir avec chacun de ses camarades. Faut-il garder ses distances avec Jonas, ce demi-frère flambant neuf qui s'invite soudainement dans le paysage après le remariage de son père ? Faut-il arrondir les angles avec cette vipère de Clarissa, qui ne camoufle rien de son hostilité envers Alex pour des raisons qui seront rapidement expliquées ? Faut-il pousser son vieux copain Ren dans les bras de l'hésitante Nona ou faire comprendre au trublion du groupe qu'il n'a aucune chance ? Cela dit, et on peut s'en féliciter, Oxenfree n'est pas coincé dans une vision binaire et simplette des relations humaines. Qu'on lui fasse souffler le chaud ou le froid, il y a toujours un minimum de nuance dans les répliques d'Alex. On peut orienter son caractère et lui insuffler nos propres sentiments sur la situation, c'est vrai, mais l'attachante gamine conserve sa propre personnalité et son fille aux cheveux bleusVenus passer du bon temps sur une île touristique dépeuplée et autrefois utilisée comme un relais d'observation par l'armée américaine, Alex, Jonas, Ren, Nona et Clarissa vont rapidement réveiller quelque chose à l'aide des ondes de la radio que la première nommée transporte sur elle. La radio, c'est la petite mécanique spéciale du jeu. On fait apparaître le tuner avec RB/RT toujours sans rien interrompre de la narration et on déroule les fréquences jusqu'à ce qu'il se produise quelque chose. On peut simplement écouter le guide touristique de l'île, mais aussi intercepter des messages cachés ici et là, et pourquoi pas ouvrir quelques failles dimensionnelles pour libérer des fantômes du passé ? Sans trop en dévoiler sur la toile de fond d'Oxenfree, qui repose sur une tragédie survenue entre 39 et 45, retenez que nos héros du quotidien et de la banalité vont être aspirés dans une série de phénomènes suffisamment perturbants pour faire perdre l'esprit à quiconque y serait sans compter sur le fait qu'Alex et les autres vont observer et subir les événements avec un drôle de détachement. Même capturés en pleine boucle temporelle. Toujours avoir le bon mot pour dédramatiser, c'est un vrai code de conduite chez Oxenfree. L'histoire aborde des thèmes communs susceptibles de toucher famille détruite, perte d'un proche, culpabilité, mais ce n'est pas ici qu'on ira vous arracher les larmes au forceps. Quand les jeux d'aventure nippons finissent toujours par exacerber les émotions, positives comme négatives, Oxenfree se distingue par sa retenue et la façon qu'ont ses protagonistes de garder les pieds sur terre, pourtant ballottés dans tous les sens par des perturbations profondément irrationnelles. Et en dehors de deux ou trois vannes un peu grasses, on ne peut qu'apprécier cette écriture dénuée de vulgarités inutiles, et pourtant jamais lisse grâce au sens de la répartie des gla-glaDans Oxenfree, les échanges prêtent généralement à sourire et l'ambiance ne bascule jamais dans le malsain ou la terreur, mais le jeu est quand même assez malin dans sa façon de distiller les phénomènes paranormaux en vue de désorienter le joueur et lui faire sentir que le sol se dérobe sous ses pieds. Les ficelles sont connues, mais les effets particulièrement travaillés, entre distorsions de voix inquiétantes, brouillage de l'écran, perturbations spatio-temporelles et possessions fantomatiques. Mais est-il besoin de le préciser, il n'y a pas de game over dans Oxenfree, et cette idée n'effleure d'ailleurs jamais l'esprit. Si quelques épreuves spéciales attendent Alex, son principal défi réside surtout dans le fait d'être une adolescente qui doit s'entendre avec d'autres individus de son comme pour Jonas qui rencontre pour la première fois les fréquentations de sa nouvelle soeur, il n'est pas facile pour le joueur de prendre le train en marche et de s'intégrer dans un groupe d'amis déjà établi. Mais le faible nombre de protagonistes et leur caractère bien démarqué font qu'on se met rapidement à l'aise avec la joyeuse petite troupe. Après cette phase de découverte, le joueur rentre vraiment dans la peau d'Alex et lui façonne un caractère en choisissant entre des réponses conciliantes d'un coté ou cinglantes de l'autre, des choix qui feront en cachette gagner ou perdre des points d'affinité avec les uns et les autres. Et si le bagout de la gamine de 17 ans facilite l'attachement, la découverte de son passé lui donne un peu d'épaisseur supplémentaire. Le jeu peut ainsi déboucher sur plusieurs configurations possibles. Alex sera-t-elle proche ou distante de son nouveau frère ? Aura-t-elle fait en sorte que Ren et Nona forment un couple ? Saura-t-elle exploiter les failles paranormales pour réparer la plus terrible erreur de sa vie ?Pourtant, la prise de vue d'Oxenfree n'est pas forcément optimale pour faciliter l'attachement. Avec une caméra aussi éloignée, les personnages ne sont que de tout petits bonhommes sur la scène, et même si on discerne de sympathiques animations, le jeu ne peut décemment pas miser sur la gestuelle et encore moins sur les expressions faciales pour transmettre ses émotions. Et comme aucun portrait n'apparaît durant les dialogues, on chérit tendrement les photos prises durant l'aventure, qui sont les seules opportunités pour contempler de près la bobine de nos camarades d'aventure. Bref, autant dire que presque tout le pouvoir d'immersion d'Oxenfree allait passer par la qualité de son jeu d'acteur. Un ratage sur le plan du doublage et c'était le naufrage. Mais là encore, quelle justesse. Avec une impeccable Erin Yvette Sasha dans Tales from the Borderlands en tête, la sauce prend merveilleusement bien entre les protagonistes. Ce qui est complètement fou quand on sait que chaque acteur a enregistré ses dialogues séparément, sans pouvoir se donner la réplique en studio. Le détachement calculé des comédiens, impeccablement dirigés par le scénariste du jeu, empêche Oxenfree de sombrer dans le drama lourdingue et montre que tous les jeux narratifs n'ont pas besoin de surjouer du violon pour sonner juste. Le scénariste Adam Hines a offert au jeu une écriture moderne, mais totalement dénuée de culture du lol, de références web et de mèmes débiles. Ce qui honnêtement fait du bien au cerveau, you gonna call ?Pour autant, la mécanique du jeu n'est pas parfaitement huilée. Il arrive par exemple qu'une séquence de dialogue se répète du début si elle a été interrompue par l'examen d'un objet du décor, ou qu'une discussion se coupe net lorsque le joueur arrive trop vite à la destination qui enclenche la scène suivante. Un peu frustrant de ne pas voir un échange aboutir parce que le joueur est arrivé trop vite au point de narration suivant. Le concept du walking-talking tombe un peu à l'eau dans ces moments-là, puisqu'on finit par faire des rondes sur place de peur d'avancer trop vite. S'il y a un domaine dans lequel Oxenfree n'excelle pas, justement, c'est sans doute l'exploration, dont la lenteur rebutera assurément certains joueurs et qui est hachée par de longs temps de chargement entre les zones. L'île n'étant pas extraordinairement grande, les déplacements se veulent lents et les petites astuces architecturales pour accidenter la route sauts, parois à escalader ne sont pas d'une grande le sens du rythme au détriment de la durée, Oxenfree nous épargne néanmoins le remplissage et les énigmes indésirables. Il se débrouille également pour ne pas trop imposer d'allers-retours sauf si on veut trouver toutes les lettres pour comprendre au mieux l'origine du bordel et indique toujours clairement la prochaine destination, même s'il sera nécessaire plus d'une fois de consulter sa carte étant donné l'architecture assez surréaliste des compositions visuelles. Les environnements du jeu sont en effet franchement remarquables et baignent dans une touche fantasmagorique qui contraste avec les échanges intellectuellement limités des adolescents. Plus picturale qu'organique, la direction artistique évoque un livre d'images pour enfants un peu sombre. Elle est signée par la jeune Heather Gross, bachelière en beaux-arts passée par Disney Mobile, dont l'oeuvre très douce reflète le champ lexical de l'onirisme et rappelle fortement le Dreams de Media Molecule. Le jeu étant en 2D, son travail de construction sur la perspective et la profondeur permet d'explorer l'île sans avoir la sensation d'évoluer en permanence sur un même plan. Pour référence, cette dessinatrice a puisé une partie de son inspiration dans les films d'animation à l'ancienne de Tomm Moore Brendan et le Secret de Kells, Le Chant de la mer.Autre point positif d'Oxenfree, la musique a été composée par scntfc Galak-Z. Le jeu baigne dans un son électro-atmosphérique doté d'un vrai cachet, entre nappes planantes à la FEZ un jeu que scntfc a d'ailleurs remixé et sons venus d'outre-espace qui renforcent judicieusement l'ambiance ésotérique. Juste un peu rageant qu'une des meilleures BGM du jeu soit absente de l'OST officielle ici sur Bandcamp. Un avertissement pour finir, malgré une première mise à jour sur Xbox One, le jeu n'a pas été correctement débogué et a tendance à planter de différentes façons, entre le renvoi immédiat sur le menu de la console ou les scripts qui déconnent comme un NPC qui ne se rend pas au bon endroit et bloquent le déroulement du jeu. C'est là qu'on regrette le fait que la sauvegarde automatique n'a lieu qu'en changeant de zone, un détail que personne n'aurait remarqué si le jeu n'était pas sujet au plantage. Le trailer du jour Ça vous a intéressé ? En voilà encore !
boC1La1.
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